
2002
•
Comedy / Crime
•
1h51
Summary
One murdered man, eight women, each seeming to be eager than the others to know the truth. Gimme, gimme, gimme some clues to make up my mind. And eventually enter the truth. Oh, thou cruel woman!
Public Opinion
484 reviews
7.7/10
7/10
Opinions on '8 Women' are mixed, with many praising its unique blend of musical, comedy, and mystery elements, set in a visually striking, theatrical style reminiscent of Agatha Christie. The ensemble cast receives high acclaim for their performances, contributing to a lively and engaging atmosphere. However, some viewers find the musical interludes unnecessary and feel they detract from character development, leading to a less emotionally engaging experience. The plot twists are appreciated, though some find the ending abrupt and underwhelming.
👍 Stellar performances in a visually captivating setting.
👎 Musical elements may feel out of place to some.
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C’était vraiment un drôle de film … Je m’attendais pas à cela. C’était un ton tout à fait décalé et même si ce n’était pas mon film préféré, je salue l’originalité du ton. Inspiré d’une pièce de théâtre (ce qui donne très bien d’ailleurs), on reste dans un salon et ce ne sont que des jeux de caméra et des jeux de comédiens, ce qui est vraiment pas mal. Le plot est assez simple : le père de famille a été retrouvé mort assassiné le matin et on se demande qui l’a fait entre les huit femmes présentes : sa femme, sa soeur, ses deux filles, la mère de sa femme, la soeur de sa femme et les deux bonnes. On va découvrir au fur-et-à-mesure de l’histoire tout ce qui sous tendait cette histoire : le fait que la femme allait se barrer avec le collègue du mari, sa soeur se tapait tout le monde, le père se tapait une des bonnes, l’autre bonne était lesbienne avec la soeur du mari, la première fille est tombée enceinte du mari (mais qui n’est pas son père réellement), la mère de la femme a tué son mari plus jeune, etc. Les comédiennes sont absolument exceptionnelles, c’est ça qui donne tout le caractère du film : Isabelle Huppert incarnant la soeur de la femme est absolument fantastique, c’est du très très grand jeu d’acteur ! Ma chouchou Fanny Ardant est pas mal aussi mais c’est vrai que la palette de jeu est un peu plus simple (toujours la femme un peu sexy et mystérieuse). Franchement pas mal ! Je salue la créativité !
On est passé trop vite sur le fait que Marcel est mit enceinte sa « fille »
Le seul élément sur lequel je reste mitigé : l’aspect comédie musicale. Sinon, je resterai toujours émerveillé par la beauté indescriptible de Emmanuelle Béart dans ce film
Noté 8/10 par Thelma Mauclert
J ai revu ce film sans faire attention, et franchement il est plutôt sympas. Je trouve que c est un peu surjoué, mais jsp si c est pour imiter ce qui ce faisait lors des année 50, mais faut dire que la tante qui mime les malaises etla petite de 16 ans qui fait des crises comme si elle en avait 12 ça m a pas mal saouler. Mais sinon j ai adoré la mère, j ai trouvé qu’elle jouait super bien. Je connaissait la fin étant donné que j avais déjà vu le film, mais je trouve que c’est une superbe fin, vachement triste quand même. J ai vu que ce film est adapté d’une scène de théâtre, et certains dialogues sont retranscrit à l identique, ça expliquerait peut être cette extravagance des personnages.
François Ozon Théâtre filmé (d'après une pièce), père de famille tué, sa femme, ses filles, sa belle sœur et 2 bonnes + sa sœur sont suspectes (tzl coupé et maison coupée du monde), des actrices incroyables. A la fin, on comprend que c'était une mise en scène organisée par benjamine, il n'est pas mort du tout mais il se suicide devant toutes les turpitudes et les vérités énoncées par chacune.
Cela se regarde, bonne intrigué mais ce n'est pas le film de l'année
Le terme « film choral » fait référence de manière figurée au chœur musical. Il s'agit en effet de films où un nombre relativement important de personnages, sans que l'un d'eux semble plus important que les autres, s'entrecroisent
Film sur joué, le rôle de chaque femme est poussé à son paroxysme du cliché Perte de temps