Anthony Ramos rated 3/10
J’apprécie beaucoup le travail des réalisateurs espagnols dans le cinéma horrifique, et je trouve que la saga [Rec] de Jaume Balagueró illustre parfaitement ce que j’aime dans ce genre. C’est donc tout naturellement que je me suis intéressé à sa filmographie, en particulier à ses premiers films comme La Secte sans nom. Un thriller horrifique centré sur le thème des sectes ? Forcément, je me devais de le voir. Malheureusement, c’est clairement un pétard mouillé, et ce n’est pas un film qui restera en mémoire. Pourtant, le film commence plutôt bien. Il installe une tension palpable, dans une ambiance qui rappelle parfois Seven. La première demi-heure est prometteuse : le rythme est bon, les personnages sont simples mais intrigants, et la photographie emprunte intelligemment aux codes du cinéma d’horreur sans tomber dans la parodie. Et puis… plus on avance, plus tout se délite. Le récit devient brouillon, les enchaînements de scènes sont parfois illogiques, et les choix narratifs beaucoup trop faciles. Mais le plus frustrant, c’est qu’on ne commence réellement à aborder le thème de la secte que dans les toutes dernières minutes. C’est franchement dommage, car c’est là que le film aurait pu devenir plus captivant s’il avait davantage creusé cet aspect dès le départ. Une vraie occasion manquée, et un film que je ne recommande pas, malgré un début prometteur.
Summary
The mutilated body of a six year old girl is found in a water hole. The girl is identified as the missing daughter of Claudia. However, only two peices of evidence could be used to identify her; a bracelet with her name on it near the crime scene, and the fact that her right leg was three inches longer than her left. All other methods of identification were removed from her body. Five years later Claudia, now addicted to tranquilizers, receives a phone call from someone claiming to be her daughter, asking for her mother to come find her before 'they' kill her. Other mysterious clues show up, further indicating that Claudia's daughter is indeed still alive, and very much in danger. Claudia, a run-down ex-cop, and a parapsychology reporter put together the clues to discover Angela's whereabouts
J’apprécie beaucoup le travail des réalisateurs espagnols dans le cinéma horrifique, et je trouve que la saga [Rec] de Jaume Balagueró illustre parfaitement ce que j’aime dans ce genre. C’est donc tout naturellement que je me suis intéressé à sa filmographie, en particulier à ses premiers films comme La Secte sans nom. Un thriller horrifique centré sur le thème des sectes ? Forcément, je me devais de le voir. Malheureusement, c’est clairement un pétard mouillé, et ce n’est pas un film qui restera en mémoire. Pourtant, le film commence plutôt bien. Il installe une tension palpable, dans une ambiance qui rappelle parfois Seven. La première demi-heure est prometteuse : le rythme est bon, les personnages sont simples mais intrigants, et la photographie emprunte intelligemment aux codes du cinéma d’horreur sans tomber dans la parodie. Et puis… plus on avance, plus tout se délite. Le récit devient brouillon, les enchaînements de scènes sont parfois illogiques, et les choix narratifs beaucoup trop faciles. Mais le plus frustrant, c’est qu’on ne commence réellement à aborder le thème de la secte que dans les toutes dernières minutes. C’est franchement dommage, car c’est là que le film aurait pu devenir plus captivant s’il avait davantage creusé cet aspect dès le départ. Une vraie occasion manquée, et un film que je ne recommande pas, malgré un début prometteur.
Mauvais