28 semaines plus tard

Après avoir vu 28 jours plus tard, je me suis replongé dans 28 semaines plus tard, un film que j’avais déjà eu l’occasion de voir plusieurs fois pendant mon adolescence. Sans surprise, il reste toujours aussi efficace, avec comme thématique centrale les rapports humains en pleine épidémie, dans la continuité du premier opus. Ce que j’apprécie particulièrement ici, c’est l’introduction, très réussie, avec un parti pris que je trouve excellent pour poser immédiatement les bases de l’histoire. Le synopsis en lui-même reste assez classique, mais le film parvient à conserver un bon dynamisme, notamment grâce à certaines scènes filmées façon found footage, ce qui renforce l’immersion. Les plot twists ne sont pas très surprenants, mais le film a le mérite de ne pas traîner en longueur, ce qui permet de rester accroché du début à la fin. En résumé, c’est un long-métrage assez basique, d’où ma note un peu sévère, mais il reste malgré tout intéressant, surtout pour les amateurs d’histoires dystopiques.

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