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Beetlejuice

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7.7/10

1988

Comedy / Fantasy

1h32

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ANGELE BARBEYRON rated 8/10

Community Reviews

Public Opinion

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6k reviews

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7.7/10

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7.5/10

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Summary

The spirits of a deceased couple are harassed by an unbearable family that has moved into their home, and hire a malicious spirit to drive them out.

Reviews and Comments

1273 reviews
Audreyrated ★ 3/10
August 21, 2025

« Nous sommes morts. Il n’y a vraiment plus de quoi s’inquiéter » Le style de Tim Burton a toujours été singulier, et Beetlejuice en est une nouvelle démonstration. Dès les premières minutes, le film se présente comme une sorte de cartoon, tant par ses bruitages exagérés, son humour absurde que par son ambiance gothique teintée de fantaisie. Le point de départ est pourtant séduisant : un couple de fantômes est contraint de cohabiter avec un couple de snobs New-Yorkais. En effet, Adam (Alec Baldwin) et Barbara Maitland (Geena Davis), un jeune couple plein de vie, trouvent la mort dans un accident ridicule en voulant éviter un chien. Reclus dans leur maison devenue prison, ils doivent cohabiter avec de nouveaux occupants venus de New York, les Deetz (Jeffrey Jones et Catherine O’Hara), snobs et envahissants. Seule leur fille Lydia (Winona Ryder), ado gothique avant l’heure, parvient à les comprendre et finit par nouer un lien sincère avec eux. Condamnés à hanter leur demeure pendant 125 ans, Adam et Barbara cherchent par tous les moyens à se débarrasser des nouveaux propriétaires. Mais leurs tentatives pour faire peur tombent à plat. Désemparés, ils font appel à Beetlejuice (Michael Keaton), un « bio-exorciste » grossier et imprévisible qu’on leur avait pourtant conseillé d’éviter. Heuresement que Beetlejuice n’apparaît que à la moitié du film, car il est infernal et ne s’arrête jamais, ce qui le rend très vite agaçant si on adhère pas à son humour. Le problème, c’est que c’est à l’arrivée de Beetlejuice, environ à mi-parcours, que le film trouve enfin son rythme. Notamment avec la scène du dîner, où les invités se retrouvent possédés et entament une danse grotesque au rythme d’une chanson entraînante. Ce passage illustre bien l’humour burtonien : macabre mais joyeux, ridicule mais inventif. Michael Keaton, méconnaissable sous son maquillage criard, incarne à la perfection ce personnage hystérique et incontrôlable. Sa prestation évoque d’ailleurs certains rôles cartoonesques comme celui de Jim Carrey dans The Mask. Il faudra juste apprécier le personnage et son humour grossier. Après le reste du casting n’est guère mieux Alec Baldwin et Geena Davis manquent de personnalité et sombrent dans une naïveté agaçante, tandis que les Deetz tombent dans la caricature, même si la femme est mieux que son mari. Winoma Rider est bien la seule à pas jouer à côté de la plaque mais son personnage est tout aussi fade. Les effets spéciaux accusent lourdement le poids du temps. Les créatures ont un aspect plastique et maladroit qui évoque plus du bricolage qu’un cauchemar - je suis convaincue que le serpent est une chaussette. Même pour un film de 1988, certaines séquences font datées et kitsch. Au final, « Beetlejuice, c’est la mort libératrice. La mort est mystérieuse dans la mesure où personne ne sait avec certitude ce qui se passe « après ». En soit, elle n’a cependant rien de vraiment réjouissant. C’est pourquoi ceux-là qui restent aux enterrements pleurent en buvant du whisky. On n’a globalement plutôt pas envie de mourir dans l’ensemble. Pourtant, la mort est inéluctable. Elle met sur un pied d’égalité absolue. Si chacun peut partager quelque chose avec les membres de la famille Arnault, c’est d’être mortel. Plutôt que d’essayer de lui échapper, on serait mieux inspiré de la regarder en face pour voir ce qu’elle pourrait apporter d’utile de son vivant, comme de mieux vivre par exemple. Adam est le premier à comprendre qu’on passe une vie entière à se faire du souci – pour rien. Quand on est vivant, on passe son temps à se plaindre. Surtout quand on est Parisien. Quand on est mort, on a toutes les raisons du monde d’être mécontent. Alors pourquoi anticiper. Lydia est la seule personne qui parvient à regarder les choses en face. Elle est éclairée. Que voit-elle ? Beetlejuice qui incarne la mort à lui seul : répugnant et insaisissable. Drôle aussi parfois. Pénible souvent. Il se moque d’absolument tout, en particulier des conventions. C’est son attitude qui permet de débloquer Adam et Barbara. Tout sympathiques qu’ils sont, ils ont néanmoins un bon balais dans le derrière. Beetlejuice contraint aussi les Deetz à sortir de leur rôle en leur offrant ce qu’ils cherchent désespérément, c’est à dire un peu de fantaisie. Beetlejuice rappelle que la vie est courte et qu’on ferait bien d’en profiter un peu. Comme le dit très bien Guignol : Les morts ne savent qu’une chose. C’est mieux d’être en vie »

ANGELE BARBEYRONrated ★ 8/10
August 17, 2025

Zoérated ★ 6/10
August 3, 2025

Pas mon préféré de tim Burton mais le premier reste meilleur que le récent.

Cesar Francoisrated ★ 5/10
July 25, 2025

Wtf c'est quoi ça

Mazrated ★ 10/10
July 20, 2025

🙏🙏🙏

LL
Leonie Langlaisrated ★ 7/10
June 24, 2025

J'ai adoré ce film

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