7.2/10
2017
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Comédie / Drame
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2h31
Ema a noté 7/10
Y A ELISABETH MOSS Je viens de commencer c’est grave bien (c’est un film nordique) par contre pour le moment je vois vraiment vraiment pas le rapport avec l’affiche mdr Je m’attendais tellement pas à ce qu’on le vole! J’ai RIEN VU, mais avec du recul c’est pas forcément étonnant « The Tesla of Justice » ils sont trop drôles mdrrrr j’aurais adoré vivre ce moment haha (euh après c’est limite si ils sengueulent??) Putain le gars qui a Tourette c’est chaud, déjà le pauvre et puis la pauvre meuf qui fait sa présentation tranquille et qui se fait insulter « grosse pute! Montre tes seins! Suceuse de bite! » maladie ou pas maladie, malgré ce qu’on peut dire, en France on l’aurait clairement dégagé, mais là c’est en Suede donc ils sont tous Ultra tolérants a prendre sa défense et personne veut le tej! En France ptdr vraiment personne aurait pris sa défense, et mon premier réflexe ça a été de le trouver insupportable, mais t’imagines devoir continuer ta présentation comme ça alors que t’interview un artiste que tu kiffes? Le seum Ptdr j’ai rien compris j’ai cru que ça tournerait autour de l’expo mais au final non, enfin, l’expo n’est pas matérielle mais le film est peut-être une répercussion de l’expo ? Il y a tellement de trucs qui ont pas de sens pour moi, ça me fait chier Ok c’est fait pour qu’on comprenne rien et donc qu’on réfléchisse à nous mêmes, ouf
Opinion du public
406 avis
7.2/10
7.1/10
Viewers find 'The Square' a blend of sharp social satire and unsettling drama, woven with absurd and memorable scenes that challenge societal norms and personal crises. The film's mix of humor and discomfort, particularly during a chaotic dinner performance, leaves a strong impression. While some appreciate its thought-provoking and unconventional narrative, others feel it tries too hard to shock without fully delivering its message on class struggle and contemporary art.
👍 Memorable dinner performance scene.
👎 May feel overly provocative without clear message.
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Résumé
Le conservateur en chef d'un prestigieux musée de Stockholm se trouve en période de crise tant professionnelle que personnelle alors qu'il tente de monter une nouvelle exposition qui fait débat.
Christian est un père divorcé qui aime consacrer du temps à ses deux enfants. Conservateur apprécié d’un musée d’art contemporain, il fait aussi partie de ces gens qui roulent en voiture électrique et soutiennent les grandes causes humanitaires. Il prépare sa prochaine exposition, intitulée « The Square », autour d’une installation incitant les visiteurs à l’altruisme et leur rappelant leur devoir à l’égard de leurs prochains. Mais il est parfois difficile de vivre en accord avec ses valeurs : quand Christian se fait voler son téléphone portable, sa réaction ne l’honore guère…
- Chaque plan est une composition rigoureuse* jouant sur le champ et le hors-champ** *des carrés partout (tableaux façon Josef Albers, la cage d’escalier, le terrain au sol des cheerleaders) **les banlieusards autour de la Tesla, la femme pas filmée lorsqu’elle parle, les bruits répétitifs de l’installation artistique lorsqu’ils parlent <3 Les scènes avec son assistant rebeu, de l’écriture de la lettre de menace (“Pas la police Comis Sans MS, on écrit pas une invitation d’anniversaire”) puis dans la “Tesla de la justice” sur “Genesis” de Justice - son sens de l’humour à froid (Une installation (des piles de graviers), a été aspirée par le service nettoyage ; la petite fille suédoise de la vidéo qui explose!) - « Le Square est un sanctuaire où règnent confiance et altruisme. Dedans, nous sommes tous égaux en droits et en devoirs. » Christian croit dur comme fer à la candeur de cette installation que l’on peut voir comme une allégorie de la social-démocratie idéale… - nos sociétés con¬fortables (intellectuellement, financièrement) et de plus en plus coupables et culpabilisées de l’être, quand la misère est recroquevillée, dans le froid, à chaque coin de nos rues. Mais le regard porté sur les sans-grades n'est pas misérabiliste. Östlund leur donne le droit d'être en colère, désagréables, de déranger une société ultra-policée et individualiste. - Variété des thèmes traités: l'art contemporain en prend un coup (la mince frontière entre l'art et la com'), avec ses mécènes et ses parasites snobinards, les relations hommes/femmes sont montrées dans toute leur complexité, de la même façon les relations père/enfants dans un couple divorcé, la communication du monde moderne est montrée telle qu'elle est, c'est-à-dire ridicule et ne reculant devant aucune horreur, devant aucune outrance, du moment qu'on fait le buzz et que cela rapporte des sous Certains ont comparé Ostlund à Haneke, lui reprochant une même froideur hautaine. Pourtant, le regard du Suédois est plus ambigu, plus pluriel émotionnellement, mêlant épinglage et bienveillance, ironie et doute. Le film n’est ni cynique, ni dénué d'humanité puisqu'il montre un homme qui va vers l'humanité, qui cherche à mener sa vie en accord avec ses idées (et auquel on peut s’identifier). - Les parties sont meilleures que la somme. On a parfois l’impression que le cinéaste étire son film jusqu’à la moelle pour éprouver la patience du spectateur. Mais pourtant on pense à la scène du dîner happening : l'édulcorer, la rendre plus courte, ce serait faire plaisir au critique comme cela soulagerait les riches donateurs de la salle que le "singe" quitte à la scène au bon moment, après nous avoir fait rire, mais sans aller jusqu'à nous choquer. Restons entre nous, acceptons d'être dérangé tant que cela ne va pas trop loin. => le fragile vernis de civilisation qui nous sépare de la sauvagerie.
Film qui est une satire de l’art, de ce milieu, de la bourgeoisie « élite ». Parle de l’absurdité entre l’expo un peu sociale et le comportements des gens du milieu. Mais bon on se fait chier, c’est lent. Y’a des idées sympa dans la real mais à part ça bof.
Artistique, on découvre la vie d'un conservateur de musée, a qui il arrive quelques soucis. Des appels à l'aide tout au long du film... Mais à quel moment on va aider son prochain ? Interroge les relations entres les Hommes et femmes, les classes sociales. Une critique de la société.
Ostlund Vod
Recommandé par Memorizer, car vous avez aimé 'Sans filtre'.
