The Pursuit of Happyness

Un film qui nous laisse sur notre faim, j’ai beaucoup aimé l’esthétique du film ainsi que le synopsis mais je m’attendais à une fin un peu plus travaillée. J’ai trouvé cette œuvre déroutante, elle nous plonge dans un chaos hyper oppressant tout au long du film pour finir un peu mieux (même si on ne voit pas vraiment le bonheur). J’ai beaucoup aimé le fait de passer d’un quartier à l’autre et voir tout type de personnes, ça nous montre aussi que dans la vie on peut tout perdre d’un coup. J’ai trouvé le film vraiment bien mais un peu long surtout quand ça va pas. J’ai par ailleurs trouvé fou le fait que son fils soit vraiment Jaden smith (c’est très mignon)

J’ai trouvé le film simple et puissant. La cinématographie reste sobre mais propre ; la mise en scène est très bonne, sans gras. Le scénario est un peu preshotable, mais solide et porté par un vrai message de persévérance et de dignité. Les dialogues m’ont touché, surtout dans la relation père–fils. Côté personnages, c’est clairement le père qui porte tout (et un fils crédible) ; la mère reste en retrait. Will Smith est excellent et tient le film sur ses épaules. L’OST est discrète mais juste ; le montage/rythme est excellent, je n’ai pas décroché. D.A./décors/costumes réalistes, effets/technique sans esbroufe. En émotion, ça marche très bien : j’ai ressenti la solitude, la peur de tout perdre, puis l’espoir. Ce n’est ni original ni révolutionnaire, mais l’exécution est maîtrisée et cohérente. Rejouabilité : oui, mais pas immédiatement. Note exacte : 8,0/10.

Je crois que je n’ai jamais autant ressenti d’émotions dans un film…

Pas mal. Leçon de vie: toujours persévérer et jamais abandonner.

Recommandé par Kurdowsky

Gabriele Muccino 2007 Will Smith = Chris Gardner Chris est un commercial qui vit avec sa femme et son fils et tente de vendre des machines médicales pour survivre. Avec les impôt, les pv, les loyers... impayés, sa femme le quitte et Chris doit gérer son enfant et leur trouver un logement. Chris est prix pour un stage de courtier non rémunéré, il doit donc vendre ses machine et s'occuper de son enfant tout en effectuant le stage. Chris fait en sorte que son enfant ne prenne pas conscience de leur pauvreté et continue de vivre dans les toilettes publiques ou des refuges. De plus, il doit faire en 6h ce que ses collègues de bureau font en 9h de travail chaque jour. Chris passe finalement son examen de fin de stage et peu après on lui annonce qu'il est embauché en lui disant "c'était aussi facile que ça".

Le film est super touchant, tant par les remarques du fils, les belles citations de Chris et le rapport fusionnel entre les deux. La façon dont se bat Chris pour son fils et pour sa quête du bonheur est magnifique. J'aime bien le fil rouge des machines qu'il doit vendre et la dernière qu'il réussit enfin à réparer quand ils sont au plus bas et qu'il vend ensuite. C'est le début de la fin des galères, s'en suit son dernier entretien où il est pris et là c'est magique quand on voit ce qu'ils ont enduré avant, voir qu'ils vont sortir de là, c'est splendide. Le fait de voir que c'est une histoire vraie rend la chose encore plus touchante. Le défaut est que j'ai trouvé le film plat dans la tristesse donc un peu long.

Magnifique leçon de vie

Classique !