Summary
Four high school teachers consume alcohol on a daily basis to see how it affects their social and professional lives.
Bof
un classique
Tout d’abord c’est l’un des usages de la musique dans un film les plus intéressant que j’ai vu récemment, y’a un vrai jeu entre intra et extra diégétique, ça donne un rendu incroyable. La musique parait extra diégètique dans son rendu mais reste totalement intradiégètique, c’est adorable. En fait j’ai même jamais vu ça J’ai eu un peu peur au début en voyant cette caméra un peu légère se balader dans la scène, en me disant que c’était encore un de ces réalisateurs plutôt idéologues ou scénariste que metteur en scène mais en fait je suis surpris de la profondeur de la mise en scène, avec cette caméra aussi ivre que les personnages et le travail du son etc… Hâte de voir le propos se développer parce que pour l’instant ça reste très manichéen, et basique en fait. Mais j’ai tout confiance en le film. La mise en scène qui mime le niveau d’ivresse du personnage de la scène, c’est trop bien. C’est pas l’idée du siècle mais c’est bien Les inserts de textes sont géniaux : la façon dont ils découpent le film en chapitre assez subtilement par exemple Si je devais analyser un film un jour ça serait celui-là Y’a quand même une erreur à pas commettre sur ce film : c’est mentir sur l’alcool. Peu importe la façon. Est-ce que faire consommer 10x + que normal c’est pas mentir ? Ptn le truc du daron qui se pisse dessus je l’ai tellement vu venir. Hm. La fin est tellement évidente que ça rend le truc manichéen et un peu grossier j’avoue. En même temps je comprends la nécessité d’être fatal avec l’alcool. Mais je pense que ça aurait pu être plus subtile quand même… La conclusion est trop manichéenne, y’a pas d’autres mots. C’est dommage La fin ? : est-ce que l’alcool est tellement partout qu’on pourra jamais lui échapper ? Est-ce que c’est aussi fataliste et cynique ?
Recommandé par l'IA Memorizer
Drôle et touchant. Revu une deuxième fois. Putain de crise de la quarantaine... pas le meilleur moment ! Forcément ça parle, c'est juste, triste mais pas désespéré au contraire.
Je pleure, je ris, j’aime