
Black Phone
2022
•
Horreur / Suspense
•
1h43
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Résumé
Une adaptation cinématographique d'une nouvelle du best-seller Joe Hill.

2022
•
Horreur / Suspense
•
1h43
Résumé
Une adaptation cinématographique d'une nouvelle du best-seller Joe Hill.
Opinion du public
1.8k avis
7.5/10
6.9/10
Les spectateurs sont captivés par 'Black Phone', saluant son mélange réussi de suspense et d'éléments surnaturels. Le film se distingue par son atmosphère angoissante et son intrigue bien ficelée, où un jeune garçon, aidé par les voix des victimes précédentes, tente de s'échapper d'un ravisseur sadique. Les performances sont fortement appréciées, notamment celle des jeunes acteurs. Malgré quelques incohérences et un démarrage lent, le film maintient une tension palpable et offre des twists captivants.
👍 Intrigue captivante et performances impressionnantes.
👎 Démarrage lent, quelques incohérences.
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Un formidable huis-clos théâtral, stressant !
Très sympathique
Personnages secondaires pas construits et inutiles et le scénario ne m’a pas forcément emballer , sympa mais sans plus , un poil surcoté
Objectivement: 3/10 Subjectivement: 3/10
Another film that was quite tense at the start but then didn't seem to make much sense once the main character was captured. Didn't quite work for me
The Black Phone est un film qui surprend par sa retenue. Là où beaucoup de productions d’horreur actuelles jouent la carte du sursaut facile et des jumpscares en rafale, celui-ci préfère installer une tension sourde, presque poisseuse, qui colle longtemps après le générique. Scott Derrickson, de retour à l’horreur après Sinister, signe un film moins démonstratif, mais plus émotionnel et psychologique. L’histoire de Finney, gamin introverti kidnappé par un tueur masqué, pourrait être un simple thriller de survie. Mais le film prend un détour inattendu : ce téléphone noir, posé dans une pièce vide, qui sonne… alors qu’il ne fonctionne pas. Chaque appel devient un pont entre le présent et les victimes du passé, transformant le film en conte macabre où les morts deviennent les alliés du vivant. La dimension surnaturelle est utilisée avec une sobriété étonnante : elle ne sert pas à effrayer, mais à guider, à transmettre, à réparer ce qui a été brisé. Ethan Hawke, terrifiant derrière son masque à moitié figé, incarne un tueur glaçant justement parce qu’il reste humain — trop humain. Pas de surenchère, pas d’explications inutiles : il est une menace brute, une présence dérangeante. Le film s’attarde davantage sur les enfants, leurs peurs, leur courage, et surtout cette violence familiale qui plane dès les premières minutes, rappelant que parfois, l’horreur commence déjà chez soi. Là où The Black Phone est le plus réussi, c’est dans sa façon de raconter un récit initiatique déguisé en film d’horreur. Finney n’y affronte pas seulement un ravisseur : il affronte sa propre incapacité à se défendre, à prendre sa place. Et chaque appel fantôme lui sert à se reconstruire, morceau par morceau.
I can't kill you hiro de puta
Love this movie
C’était pas mal, j’aime beaucoup la mécanique de souvenirs/rêves… J’ai eu un peu de mal à me mettre dedans le début est un poil lent à mon goût mais j’ai bien été surprise !