Summary
Explores the art and love story of renowned French painters Pierre Bonnard and his wife Marthe.
Un peu confus
Le peintre français Pierre Bonnard ne serait pas le peintre que tout le monde connaît sans l'énigmatique Marthe. En effet, celui que son pays natal surnommait le "peintre du bonheur" a fait le portrait de son épouse, une aristocrate autoproclamée, dans plus d'un tiers de ses tableaux. Avec Cécile de France
Bonnard, Pierre et Marthes J’ai trouvé le film un peu lent et franchement pas incroyable. Cécile de France est effectivement bien mais je trouve que les acteurs ne crèvent pas l’écran et surtout c’est sur-joué. Alors je pense que bien évidemment c’est le style voulu mais je ne trouve pas cela réussi. Ça rend les situations un peu cons mais c’est tout. Donc on y parle de la vie de Pierre Bonnard qui est un peintre impressionniste, entretenu comme tous les peintres de cette période et qui bien évidemment ne pense qu’à lui : il traite sa femme (enfin qui ne devient sa femme qu’à la fin) un peu comme de la merde à partir d’un certain moment et cela ne lui pose aucun problème d’aller la tromper avec ses élèves et même de partir sérieusement avec une d’entre elle jusqu’à un mariage qui a failli se faire en Italie. Finalement, 3 jours avant ce mariage, il se rend compote qu’il ne dessine pas bien en Italie et revient chez lui dans la campagne après de Marthes. Celle-ci en a profité pour sombrer dans la folie et notamment dans le peinture. Quand il rentre, il s’en rend compte et fort heureusement, l’encourage et la tire vers le haut. Ils vont ensuite vivre vieux et longtemps ensemble. Pas une grande valeur ajoutée ce film : ok, c’est mignon, ça parle d’une histoire amoureuse, d’un (et d’ailleurs de deux) peintres connus mais c’est tout. Vraiment déçue car ça aurait pu être beaucoup mieux.
Des personnages très tourmentés, une ambiance parfois pesante pour cette romance d’une histoire vraie.
Tv
Le peintre français Pierre Bonnard ne serait pas le peintre que tout le monde connaît sans l'énigmatique Marthe. En effet, celui que son pays natal surnommait le "peintre du bonheur" a fait le portrait de son épouse, une aristocrate autoproclamée, dans plus d'un tiers de ses tableaux