1977, Ruggero Deodato, Massimo Foschi,Me Me Lai,Ivan Rassimov,Sheik Razak Shikur,Judy Rosly,Suleiman,Shamsi
1985, Ruggero Deodato, Lisa Blount,Leonard Mann,Willie Aames,Richard Lynch,Richard Bright,Michael Berryman,Eriq La Salle,Gabriele Tinti,Valentina Forte,John Steiner,Karen Black,Barbara Magnolfi,Luca Barbareschi,Penny Brown,Carlos de Carvalho
1976, Ruggero Deodato, Marc Porel,Ray Lovelock,Adolfo Celi,Franco Citti,Silvia Dionisio,Marino Masé,Renato Salvatori,Sergio Ammirata,Bruno Corazzari,Daniele Dublino,Sofia Dionisio,Tom Felleghy,Margherita Horowitz,Gina Mascetti,Marcello Monti
1988, Ruggero Deodato, Michael York,Edwige Fenech,Donald Pleasence,Mapi Galán,Fabio Sartor,Renato Cortesi,Antonella Ponziani,Carola Stagnaro,Daniele Brado,Caterina Boratto,Lewis E. Ciannelli,Renata Dal Pozzo,Giovanni Lombardo Radice,Gianni Franco,Marino Masé
1987, Ruggero Deodato, Peter Paul,David Paul,Richard Lynch,Eva LaRue,Virginia Bryant,Sheeba Alahani,Michael Berryman,Franco Pistoni,Raffaella Baracchi,Pasquale Bellazecca,Luigi Bellazecca,Wilma Marzilli,Paolo Risi,Giovanni Cianfriglia,Angelo Ragusa
1992, Ruggero Deodato, Christopher Masterson,Elizabeth Kemp,John Rothman,Dolly Carroll,Carolina Brea,Aleksei Hecht,Yves Arispe,Giovanni Rodriguez,Verones Calcedo,Francisco Rodríguez,Gy Mirano,Ruggero Deodato
Perturbant /10
Trauma
film culte , bien fais pour l’epoque. l’ambiance est pesante et la maltraitance animal c’est non.
Cannibal Holocaust est souvent cité comme un film culte, notamment pour avoir marqué l’histoire du cinéma d'horreur. Cependant, en dépit de son statut de précurseur dans le genre, il s’est avéré être une déception pour moi. Le visionnage a été loin d’être plaisant, et c’est surtout ma curiosité et l’envie de juger ce film qui m’ont poussé à aller jusqu’au bout. Sur le plan technique, la photographie rappelle une production de série B, ce qui rend difficile l'immersion dans le récit. La bande-son, elle aussi, est décevante, renforçant l’impression d’un film mal exécuté. Bien que l’œuvre critique le sensationnalisme des journalistes (un message pertinent et bien intégré dans l’histoire), cette critique ne suffit pas à sauver un film qui, visuellement, n’offre rien de mémorable. En fin de compte, mis à part une fin qui redonne un peu de souffle au long-métrage, je trouve que Cannibal Holocaust n’a pas beaucoup à offrir. Si son message sur l’éthique médiatique est intéressant, l’expérience de visionnage reste plate et peu engageante, ce qui est regrettable pour un film de ce statut.
Noté 10/10 par Justine ""
Noté 10/10 par Justine
