En plein feu

Action, drame, thriller (2023)(France)

Thriller français qui suit Alex Lutz et André dussolier pendant les grands incendies du sud ouest (on était en plein dedans) . Alex Lutz est le seul mec qui conduit en ne regardant jamais la route et dussolier fait le strict minimum et il y a beaucoup de fumée, mais vraiment beaucoup (moins cher que de montrer des flammes ?) . Je n'avais déjà pas aimé 5eme set déjà avec Alex qui tentait vainement de nous faire croire qu'il jouait au tennis ( pas de fin d'ailleurs pour ce film..) .vous l'aurez compris pas fan mais ce n'est pas nul non plus .Donc un petit 5 car cela nous a rappelé notre passage en Gironde et certes ce n'était pas le but du film mais au moins j'y ai trouvé un intérêt, petit intérêt, vraiment petit

Scénario catastrophe, impaire, André Dussollier et son fils Alex Lutz dans une voiture pour fuir les flammes dans les Landes…

Étouffant

Monde dystopique (de moins en moins) où un père et son fils coincés dans une voiture sur une route départementale au milieu des bois, comme des milliers de personnes craignent les flammes de plus en plus proches et violentes. Une succession de problèmes attend Simon joué par Alex Lutz, des regrets envers son devoir de père se mêlent aux problèmes et pousse Simon à sauver une femme au péril de sa vie. Ces regrets sont magnifiquement montrés par les différentes hallucinations de Simon, qui le sauveront en lui montra la voie. Et les retrouvailles avec son fils n’en sont que plus touchantes. Les décors et effets spéciaux nous permettent de nous entraîner dans la lutte pour sa vie après le décès de son père dans leur accident lors de la fuite. Le film nous met en garde contre les incendies de plus en plus fréquents, le film se veut donc alertant sur le climat. Le dépassement des pompiers et des forces de l’ordre face à ce bouleversement climatique nous montre à quel point nous sommes vulnérables face aux forces de la nature. Dans le cas de Simon, la pluie de la fin peut sembler être un sauvetage de la nature, elle arrive en Deus Ex Machina, comme si ce feu était un avertissement, la planète met en garde tout en sauvant l’humain à la fin. Cet avertissement doit être un électrochoc afin que l’humain prenne conscience du pouvoir et de l’importance de la nature. Lors du feu, Simon a beau chercher l’océan pour se protéger, mais un dessin de son fils lors d’une hallucination lui rappelle que l’eau est un élément tout aussi dangereux que le feux. La nature joue le rôle de bourreau et de sauveur. Film humain qui nous permet de prendre conscience du climat et de l’importance de la famille.

UGC Mondeville Vraiment très pertinents et bien filmé

mauvais

J'ai beaucoup aimé le personnage principal enfin l'histoire qu'il avait par rapport à ses 2 enfants, et le lien que ça avait avec l'histoire. Puisqu'il a cru mourir il s'est rappelé des erreurs qu'il avait fait et voulait les réparer. En plus de ça on est vraiment plongée dans l'atmosphère créée par le film, dans les flammes c'est très beau visuellement ! Après l'histoire ne pas si touchée que ça, enfait j'aime pas trop les deux acteurs principaux :/ jsp trop pq

Film catastrophe • (1h25) • 2023 • France • Réalisé par Quentin Reynaud • avec André Dussollier, Alex Lutz, Laura Sépul, Nganji Mutiri. Alors qu'un incendie se rapproche dangereusement des habitations, un père et son fils reçoivent une alerte leur demandant de quitter leur domicile. 🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥 Bloqués dans leur 4 × 4 au milieu d’une forêt landaise en proie aux flammes, un père et son fils doivent rejoindre l’océan pour en réchapper. Quelques éléments de drame familial viennent se greffer sur ce film de survie réussi, minimaliste mais rythmé. Le potentiel dramatique d’Alex Lutz, évoquant ici un animal blessé, continue d’impressionner, tandis qu’André Dussollier — en vénérable chef de famille bougon mais sensible — reste, une fois de plus, impeccable. On se laisse convaincre au fur et à mesure que la tension monte, servie par la photographie léchée de Vincent Mathias (Au revoir là-haut), qui rend l’incendie presque irréel. Au cœur de ce très actuel mégafeu, on ne voit pas tant les flammes que des couleurs mortelles. TÉLÉRAMA • Critique par Augustin Pietron-Locatelli • Publié le 07/03/2023.