Léo, jeune ingénieur brillant et fêtard qui vit à Berlin, doit rentrer dans son village du Doubs pour vendre les terrains agricoles de son père à une entreprise de forage de métaux rares. Il retrouve sa mère, sa petite sœur, ses copains et son cousin, en désaccord avec le projet de mine.
Avec finesse, la cinéaste suggère le sentiment d'abandon qui habite Léo, l'effet de son deuil sur ses angoisses, et la solitude des agriculteurs. Alors tant pis si le rythme est parfois languissant et les métaphores un peu trop soulignées, Fario marque l'apparition d'un vrai jeune talent.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Nice-Matin
par Cedric Coppola
Le cinéma de genre made in France a pour particularité d’évoquer derrière le fantastique, des problématiques contemporaines, dont l’écologie. « Fario », premier long-métrage de Lucie Prost cherche à s’inscrire dans cette veine… Mais n’y parvient qu’à moitié. L’intrigue minimaliste et la naïveté de certaines situations empêchent d’adhérer pleinement à cette variation.
Ouest France
par La Rédaction
Un film mélancolique qui s'éparpille un peu trop entre plusieurs sujet