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Takeshi Kitano 1996

Takeshi Kitano, Cinetek

Takeshi Kitano DOP Hideo Yamamoto

Film un peu trop intellectuel pour moi J’ai vu le film dans le cadre du ciné-club et come d’hab j’ai somnolé les 30 premières minutes C’était LONG et si peu de dialogue 😭 j’avais trop envie de dormir La fin de est une fin ouverte j’aime pas trop ça mais c’était je pense mon moment bref Beaucoup de violence dans le film quand même C’est finalement un film très comment dirai-je, poétique par ses plans pour quand l’idée de raconter une histoire Ah oui aussi, jsp mais je crois c’était typique japonais, les réalisateurs japonais n’aime pas tenir le spectateur par la main alors il y a beaucoup de cette « prémonitoire » qui en fait sont expliqué par de long flash back Donc voilà pas facile Par contre la BO pépite j’ai adoré les sonorités nippones 🥰 Critique vu sur allociné qui résume parfaitement ! « Un film typiquement japonais. On voit qu’ils n’ont pas la même manière de travail que les autres pays. Ils ont un certains style, une façon de raconté très différente. C’est donc la force et la faiblesse de ce genre de film. Car, c’est soit : le film d’emballe et tu es emporté par la poésie, la violence et la pudeur de ce film, ou soit le film est ennuyeux. Car, on a du mal à suivre l’histoire, on ne sait pas ou elle veut nous emmené : ils y a des meurtres, beaucoup de violence, il y a une histoire d’amour qui se met en place… Car, c’est un gars ou sa femme est malade. Et donc, il va demander de l’argent à la mafia pour que sa femme est un quotidien honorable. Mais le tout est assez dur à suivre. Mais, si on prend chaque thème, chaque tableau que nous présent, et bien on voit la maitrise et la force de l’œuvre. » Voilà donc ça dépayse un peu mais voilà

Poésie et violence pour un homme désabusé sur qui le sort s'acharne et qui s'accroche au seul bonheur qui lui reste: sa femme mourante. Les tableaux que l'on voit dans le film sont des tableaux peints par Kitano lui-même durant sa convalescence. Chaque scène est magnifiquement filmée.

Mon premier coup de cœur, m’a première rencontre avec Takeshi, et ses champs/contre-champs tellement imprévisibles. Ici, sa femme est condamnée par un cancer, et ils ont déjà pas mal morflés avec la perte de leur fille. Alors c’est en mode « plus rien à foutre » qu’il va faire un dernier road trip avec sa meuf, et les yakuzas au cul. Simple, taiseux, beau.