Fumer fait tousser

Bon.... J'ai beaucoup le réalisateur de base et ces films mais celui-là... il s'attire sur la longueur alors qu'il est cours

Manque cruel de rythmes, ce qui est assez surprenant dans un film où des dingueries se passent toutes les 5min On se fait chier, c’est même pas drôle et c’est plat comme jamais Vive l’entre soi avec Dupieux, ça serait cool de pas embaucher des acteurs juste pcq c’est tes copains J’ai du mal à voir l’intérêt d’à peu près tout dans le film Ok l’écologie, la terre qui se meurt, les humains sont bêtes et la clope c’est mal Libérez le cinéma de Quentin Dupieux svp on en peut plus

Quentin Dupieux n'a finalement pas grand chose de consistant à raconter dans cet enchaînement de tableaux absurdes, gores, parfois drôles mais qui ne mènent nulle part.

trop bizarre original

Du Quentin Dupieux, décalé, drôle et gore, j'ai bien aimé !

Dupieux part en vrille et ça ne ressemble plus à grand-chose. Film à sketches, l’histoire du casque à penser est certainement la partie la plus réussie. Sinon, on s’ennuie ferme. Autant que les comédiens peinent à convaincre. Et ça ne dure qu'1h20...😴

Fumer tue… mais pas chez Dupieux. Ou du moins ce n’est pas le plus important. Tout est décalé, absurde, on part dans tous les sens… mais je ne me suis pas ennuyé. Les acteurs sont top. Le combat de début rappelle les x-or et Bioman de l’époque. Ces super héros qui réalisent qu’ils gagneront toujours sont attachants, dans leur vie quotidienne de teambuilding. Encore une fois, Dupieux parle de cinéma, de raconter des histoires. Ce sont ses personnages qui nous en racontent là, plus tordues les unes que les autres. Et le père qui veut revoir une dernière fois ses enfants, qui lui demandent de raconter une histoire. La petite fille nous raconte l’histoire la plus banale que l’on connaît et avons à peu près vu mais qui est la plus flippante pour nos héros, avec un fond d’écologie. Un homme est broyé par une machine. Mais sa bouche qui parle encore suffit à poursuivre la relation. Un poisson entrain de cuire raconte sans finir son histoire. Le patron rat crache du liquide vert en continue mais toutes les filles en sont amoureuses… Dans l’histoire du casque, il semble faire l’éloge de l’isolement, du recul, de la réflexion… mais cela amène au pire. C’est déjanté, ouvert à plein d’interprétations, parfois intelligent, parfois grotesque et limite niais… mais c’est du Dupieux. Et ça me réjouis de voir quelqu’un qui creuse autant son sillon, tente des choses, produit (du bon et du moins bon), tel un Woody Allen. Il restera de Dupieux son univers et quelques chefs d’œuvres, dont pour moi ce film ne fera pas parti.

Encore doux et inattendu, je recommande bcp

Mouais