L'art d'être heureux

Jean-Yves Machond, peintre mondialement méconnu et globalement malheureux, décide un jour de changer de vie. Il va chercher l’inspiration dans une petite ville normande, afin de concevoir un chef-d’œuvre qui lui vaudra enfin gloire et reconnaissance éternelle. Mais sa rencontre avec les artistes locaux, du chaleureux Bagnoule à l’habile Cécile, va quelque peu le faire dévier de son chemin, et le mettre face à son rêve le plus profond : celui d’être un homme heureux, tout simplement. Là il rencontre des artistes locaux, naïfs et rêveurs qui tentent de vivre pleinement l'instant présent. Il est pris dans une suite de quiproquos. Après quelques péripéties, Machon finit par retrouver sa fille élevée en Chine à Qingdao après sa séparation. Le film n’est pas du tout une comédie mais il a un truc de touchant. On suit toutes les péripéties de ces personnages mais ils sont tous aussi paumes les uns que les autres, ça n’avance pas. J’ai bien aimé Poolvoerde dans ce rôle.

Malgré une bonne distribution film surjoué par Poelverde, rythme poussif, un peu d’humour mais globalement peu convaincant, film raté . Juste le plaisir de voir filmé Mers et le Treport

À part la prestation de Camille Cottin il y a tout à jetter.

🎬 Une comédie satirique réalisée par Stefan Liberski, le film explore de manière burlesque le monde des pseudo-intellectuels et artistes prétentieux, avec un ton doux-amer. Benoît Poelvoorde campe Jean-Yves Machond, un artiste raté, mégalomane, et pathétiquement drôle. Le film se distingue également par sa lumière et ses décors, notamment une maison perchée sur une falaise en Normandie. Bien que certaines critiques aient souligné une intrigue parfois faible, le film semble surtout plaire à ceux qui apprécient l’humour satirique et les personnages excentriques, en particulier les amateurs de la scène artistique décalée. 🎬 🎬 🎬