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The Hunchback of Notre Dame

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7.4/10

1996

Animation / Drama

1h31

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675 reviews

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7.4/10

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7/10

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Summary

A deformed bell-ringer must assert his independence from a vicious government minister in order to help his friend, a gypsy dancer.

Reviews and Comments

253 reviews
LN
Lyvia Notorated ★ 7/10
August 8, 2025

J’ai beaucoup aimé l’histoire C’est beaucoup plus touchant et sombre que les autres films. J’aime vraiment beaucoup le bossu et l’histoire avec la fille C’est hyper triste certaines scènes Par contre le vieux là j’aime pas du tout en plus il fait des allusions bizarres. J’aime beaucoup les statues avec casimodo en soit ça montre qu’il a du se faire des amis autrement qu’avec des humains. Dans les histoires d’amour basiques, on aurai vu la fille finir avec le Hero mais c’est pas le cas et sincèrement ça m’a pas dérangé. J’ai bien aimé le chevalier la. En sachant la fin de la vrai histoire ou alors les autres films c sur que ça se voit que c’est un Disney mais franchement j’ai beaucoup aimé

Audreyrated ★ 7/10
May 21, 2025

« Paris se réveille quand les cloches sonnent Dans les tours de Notre-Dame » Le Bossu de Notre-Dame est l’adaptation du livre éponyme de Victor Hugo même si de nombreuses choses ont changé (personnages supprimés, fin changé). Pour autant, le film conserve bien l'essentiel du livre car tout le romantisme et la dramaturgie du romancier français transpire dans chaque scène pour donner au final un des longs-métrages les plus ambitieux des Walt Disney Animation Studios. Déjà, les artistes de Disney gardent un élément très présent dans le roman : la dualité. Elle se retrouve bien évidemment dans la comparaison menée entre Frollo et Quasimodo via la simple interrogation "L'homme est-il un monstre ou le monstre un homme ? ". Mais pas que ! Le spectateur prend ainsi la mesure de la différence entre la Cour des Miracles dont l'entrée se trouve dans un cimetière sombre et glauque donnant sur les catacombes, le tout prenant des airs du tréfonds de l'enfer, et la cathédrale qui fait elle le pont vers le ciel et le paradis. Les artistes n'ont pas non plus voulu forcément enlever toute la complexité du roman. Il y a de nombreux non-dits dans le film. Jamais un long-métrage d'animation Disney n'avait placé autant de métaphores pour parler de sujets sérieux, voire graves. Un exemple parmi d'autres : lorsque Frollo rencontre Phœbus et illustre la prolifération des bohémiens dans la ville de Paris, au lieu de lui formuler ce qu'il attend de lui, il écrase des fourmis. C'est une scène fort simple mais sa signification est d'une force incroyable pour illustrer le génocide qui se prépare. Le film aborde également deux sujets a priori impensables de voir traités un jour au sein d'un Disney : la religion et l'attirance sexuelle ! Jamais aucun film Disney ne s'était permis de traiter directement de religion, et de la place de chacun face à sa foi, ses principes et à sa fidélité à la morale. De même, les allusions sexuelles sont très présentes via essentiellement le personnage de Frollo comme dans ce dialogue d'une précision hallucinante sans pour autant que le mot ne soit jamais lâché : "[Frollo] J'étais en train d'imaginer une corde autour de cette superbe gorge ! [Esméralda] Je sais bien ce vous vous voulez ! [Frollo] Voyante et clairvoyante ! C'est typique de votre race d'altérer la vérité pour troubler les consciences avec des pensées impies." Il faut d'ailleurs souligner la version française, qui en préférant un langage soutenu par rapport à la version anglaise, accentue encore plus le côté moyenâgeux mais aussi les paraboles du récit. De ce fait, Le Bossu de Notre-Dame, malgré le fait qu’il s’agisse d’un dessin animé, a une trame très sombre et difficile à digérer. Je ne fais pas référence à une noirceur joyeuse comme celle de L’Étrange Noël de monsieur Jack ou à la noirceur effroyable de Taram et le chaudron magique, l’une des grandes histoires méconnues de Disney. Non, la noirceur du Bossu de Notre-Dame n’a rien à voir avec tout cela: il s’agit d’une noirceur distincte, réelle et crue. C’est pour cela que beaucoup des enfants n’ont pas su l’apprécier. Sans oublier le fait que Le Bossu de Notre-Dame s’éloigne du stéréotype de Disney et nous présente une histoire chargée de critiques envers la société et le pouvoir, surtout celui de l’Eglise. C’est pourquoi il a été délaissé par le public habituel de Disney. La principale différence par rapport à l’oeuvre originale de Victor Hugo se trouve dans le personnage du juge Frollo. Dans la version originale, Frollo est l’archidiacre de Notre-Dame mais, dans la version de Disney, il s’agit d’un juge (Disney n'est en fait pas capable là d'assumer complètement une critique si virulente contre la religion). Mais cela n’empêche quand même pas l’Eglise d’en prendre pour son gradé car même si Frollo est présenté comme un juge, le personnage est profondément lié à la cathédrale, a de fortes croyances religieuses et, parfois, sa tenue ressemble à celle d’un ecclésiastique. Frollo devrait être un homme de loi, donc un personnage respectable et juste. Or, il est tout le contraire. Dès le début, nous voyons sa cruauté, son orgueil et son mépris pour les autres. Frollo déteste les gitans, il hait tous ceux qui ne sont pas comme lui; or, la vie lui jouera un mauvais tour et il finira par ressentir des émotions qu’il n’aurait jamais cru pouvoir ressentir un jour. Frollo commence à être obsédé, littéralement, par la gitane Esméralda. Ses sentiments envers elles ne sont pas du tout sains. Esméralda devient une sorte d’objet précieux et tentant. Elle est l’incarnation du mal. En même temps, un désir malsain apparaît chez Frollo et le poussera à remettre sa foi en question. Frollo considère que son désir envers Esméralda est une sorte d’épreuve que lui impose Dieu et il doit éviter le péché. Toute cette obsession irrationnelle de Frollo débouchera sur l’un des moments musicaux les plus perturbants de tout l’univers Disney. Une chanson dans laquelle les connotations religieuses sont évidentes dès le début: des choeurs ecclésiastiques, un crucifix géant, la tenue de Frollo, etc. Ce moment musical me semble crucial pour approfondir un peu plus le personnage; nous ne nous trouvons pas seulement face à un juge cruel et sans pitié qui impose sa loi en condamnant un grand nombre d’innocents mais face à quelqu’un qui cache autre chose. Frollo est un personnage réellement trouble et désagréable, ce désir irrationnel et obsessionnel envers Esméralda nous terrorise encore plus que n’importe quel autre moment du film et je crois fermement que toute cette scène était très risquée. On nous présente un méchant qui fait vraiment peur; derrière cette image de puritain et d’homme de loi se cache un homme à la morale très douteuse. « Une Douce Lueur / Infernal » soutient le thème de la dualité avec ses deux manières différentes de penser à Esméralda. Quasimodo est lui plein d'espoir et chante les lumières douces du paradis. La première partie s'inscrit donc logiquement dans les tons de bleus, apaisants et tranquilles. La caméra bouge et descend alors de la tour où loge Quasimodo pour se retrouver dans le cœur de la Cathédrale là où l'archidiacre et les prêtes chantent un psaume en latin à la gloire de Marie. La caméra traverse ensuite un vitrail où est représentée la Sainte Vierge pour se diriger vers le Palais de Justice où Frollo est à la fenêtre et prie aussi. Il se dirige alors vers le feu de la cheminée. Et là, la chanson change du tout au tout : au lieu de parler d'espoir et d'amour, le juge aborde le péché, le désir charnel et l'envoutement par la sensuelle Esméralda qui prend forme, langoureusement, dans la fumée de la cheminée. Les feux de l'Enfer et la damnation attendent l'homme de justice ! Car il a fait son choix : soit la bohémienne le choisit lui, soit elle meurt ! Et dans les deux cas, il se voit condamné au purgatoire. Cette deuxième séquence est donc totalement différente de la première. Bâtie sur des tons de rouge, très abstraite, la séquence possède une extraordinaire mise en scène. Le texte comme les images n'en disent pas trop, rien n'est explicite mais la métaphore est tellement forte que le message est limpide. L’oeuvre de Victor Hugo ne fait preuve d’aucune compassion. Elle est sans pitié. En revanche, Le Bossu de Notre-Dame est une version plus douce, plus acceptable pour le public en général et crée, bien entendu, moins de polémique. Or, à travers le personnage de Frollo et plus particulièrement à travers la scène musicale, nous retrouvons une trace de l’oeuvre originale, une marque de cette critique acerbe de l’Eglise et de son indiscutable pouvoir. Ensuite, dans le roman, Quasimodo symbolise pour moi le mal inavoué de son gardien, Claude Frollo, et je le vois aussi comme un bouc émissaire qui sert à exorciser les craintes et les superstitions de la populace médiévale. Quasimodo est limité non seulement par ses restrictions physiques mais aussi par l'opinion que les autres avaient de lui . Les gens de cette époque, et malheureusement de la notre également, craignaient tout ce qui était différent, et Quasimodo incarne ces craintes qu'alimentaient les superstitions et le dogme de l'Eglise. Pour eux, un extérieur hideux supposait une âme toute aussi laide. Quasimodo lui-même, en raison de sa réclusion, se qualifie comme un monstre. Frollo a créé une grande insécurité en lui. Etant donné qu’il n’a pas de contact avec la société, il a établi une sorte d’amitié avec les gargouilles de la cathédrale, qui seront une espèce de conscience pour lui. Esméralda, avec les gargouilles, sera celle qui parviendra à faire ouvrir les yeux à Quasimodo et à lui faire voir la réalité telle qu’elle est. Le capitaine Phoebus aura également un rôle important: il s’agit d’un soldat qui tournera le dos au juge Frollo et s’unira à la lutte pour l’égalité. De ce fait, qui est le véritable monstre de Notre-Dame ? Quasimodo, Frollo, l’Eglise, la population ? Le dessin animé nous ainsi montre la véritable nature du monstre, un monstre camouflé qui se déplace parmi nous tous les jours et qui jouit du respect de la société. Enfin, je ne peux pas terminer en parlant de la chanson la plus marquante du film qu’est celle de l’ouverture. L’une des plus marquantes de Disney. L'introduction posait d'ailleurs de gros problèmes aux artistes de Disney, surtout à partir du moment où il fut décidé que Frollo serait un juge et non plus un archidiacre. Le début du film nécessitait une grande explication qui, en dialogue, risquait de devenir longue et fastidieuse. Une chanson fut proposée et cela fut le déclic. D'une richesse incroyable et d'une inventivité extraordinaire, elle s'appuie sur une animation à couper le souffle avec une musique particulièrement ambitieuse. La séquence arrive ainsi à introduire tout à la fois le personnage de Clopin en tant que narrateur de l'histoire, le secret de la naissance de Quasimodo, son rapport à Frollo et le pourquoi de son adoption par le juge, mais aussi la crainte, mêlée de respect, que Notre-Dame lui inspire surtout quand l'archidiacre lui ouvre les yeux sur ses péchés. Le découpage est superbe avec Clopin jouant avec sa cape et permettant de passer du présent au passé. De plus, l'ouverture donne le ton du film : il sera sombre comme le montre le meurtre de la mère de Quasimodo et le quasi infanticide que s'apprête à faire Frollo. Et puis que dire du tempo ! La salle est encore dans le noir que les cloches se mettent à sonner et les chœurs latins résonnent pour laisser ensuite apparaître le château de Walt Disney Pictures, quand tout s'emballe avec la cathédrale qui semble sortir des nuages ou du… Paradis. Le spectateur plonge alors dans les rues de Paris où Clopin les attend. Il raconte ainsi son histoire qui explose à la fin par une note aiguë impressionnante alors que Quasimodo fait sonner les cloches de la cathédrale. Du grand art ! Une des rares scènes qui me donne le frisson à chaque fois que je la regarde. Toutefois, le film souffre de quelques problèmes liés au fait qu’il se veut quand même pour les enfants. Ainsi, les gargouilles ont été rajouté pour les enfants. Or leur humour n’est pas très élevé et très premier degré alors que celle de Phoebis, ainsi que les commentaires de Frollo, sont second degré. Dommage de ne pas avoir tenu la ligne sombre du film jusqu’au bout. Au final, le théorème est clair. Si tu es moche et même si tu es le personnage principal, tu n’auras pas la jolie fille. « L'homme est-il un monstre ou le monstre un homme Et les cloches sonnent, sonnent, sonnent Sonnent, sonnent, sonnent Sonnent, sonnent À Notre-Dame »

J
Jonathan Bertaudrated ★ 8/10
May 19, 2025

Noté 8/10 par eloulol

serena Poleurrated ★ 6/10
May 16, 2025

Noté 8/10 par eloulol

Enzarated ★ 8/10
April 16, 2025

Disney + chez papa

Talia Philibertrated ★ 10/10
April 5, 2025

peut être la 6e fois que je vois ce film

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