
2019
•
Crime / Drama
•
1h44
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Summary
A cop from the provinces moves to Paris to join the Anti-Crime Brigade of Montfermeil, discovering an underworld where the tensions between the different groups mark the rhythm.
Public Opinion
1.7k reviews
7.8/10
7.6/10
Viewers find 'Les Misérables' a gripping portrayal of urban strife and police tension in the suburbs of Paris. The film's realistic depiction and intense narrative captivate many, though some find the ending frustratingly ambiguous. The raw and authentic approach, combined with strong performances, generally leaves a powerful impression, sparking significant discussion and reflection on societal issues.
👍 Authentic portrayal of urban tensions.
👎 Ending may feel unresolved for some.
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Recommandé par l'IA Memorizer
Alexis Manenti = Chris Damien Bonnard = Ruiz (Pento) Djebril Zonga = Gwada Ruiz intègre une brigade de la bac avec Chris et Gwada dans le 93. Pour la première journée, des gitans ont une altercation avec le mair au sujet du vol d'un lionceau de leur cirque. Plus tard, grâce aux réseaux, une photo est publié avec le jeune Issa qui tien ce lionceau. Ils partent le chercher mais durant l'arrestation, ses amis compliquent les choses et une balle frappe Issa à la tête. Un drone a filmé et ils partent maintenant à la recherche du pilote qui s'était réfugié chez un homme respecté de la cité. Après les négociations, ils finissent par avoir la vidéo auprès de cet homme. Amoché, le garçon est relâché et le lionceau redonné. Mais Issa va se venger auprès des policiers en les attaquant avec des feux d'artifices, des molotov...
Le choc des années 2020, la haine était celui des années 90 ... A voir absolument ! Aucun jugement et un constat sur une société qui 'e se comprend pas
Très bon sujet de société très bon film
Recommandé par Memorizer, car vous avez aimé 'Bac Nord'.
Chef d’œuvre 🖌️
Recommandé par l'IA Memorizer
Recommandé par Constance
Assez bon film. Je comprends son succès. Il dépeint la réalité des cités sans sombrer dans les tensions classiques qui tournent autour de la drogue et de la violence. On y retrouve plutôt ce qu’est la vie de cité, avec ses différents groupes, ses galères et ses difficultés, mais aussi quelques moments - très brefs - d’entraide. Ok. Ce qui me dérange néanmoins, c’est que nous suivons trop officiers de la BAC avec un, clairement raciste, qui arrive à se faire respecter et à qui on pardonne toutes les blagues xénophobes qu’il profère. Après la bavure, le troisième, le nouveau, se trouve une conscience et veut améliorer les choses. Mais attention, c’est compliqué. Ici, on ne pardonne rien. On humanise les policiers, et c’est tant mieux, mais on fait fi du racisme systémique et on ne comprend donc pas le message du film. Oui, la violence est dans les deux camps mais les policiers sont les représentants de l’ordre, il est de leur devoir de protéger TOUTE la population. Je ne peux donc pas réconcilier cette pensée avec ce film qui est bon, par ailleurs. On y décèle assez aisément le talent du réalisateur mais j’aimerais que le narratif évolue plus encore.