Love & Other Drugs

Film touchant sur la maladie de Parkinson et de ce qu’on est prêt à accepter par amour

C’était mignon, sans plus et pourtant j’adore Anne Hathaway et Jake Gillenhaal

J’ai beaucoup aimé « Love and Other Drugs ». C’est un genre de film romantique qui se mêle au cliché traditionnel du garçon d’habitude coureur de jupon qui tombe amoureux de la fille à la maladie dégénérative pour laquelle on ne peut rien faire, et a une touchante représentation de la maladie dans la vie d’une personne et de son impact sur ses proches. La volonté de l’actrice principale d’a tout pris vouloir l’écarter et maintenir la distance avec lui dès le début pour éviter de se faire ensuite abandonner et souffrir de cette perte a raisonné très fort à l’intérieur de moi. Peut-on accepter l’amour qu’on ne croit pas mériter parce que nous allons mourir avant les autres ? Accepter de prendre le risque de se faire quitter alors que nous vivons déjà une épreuve terrible ? Mais la vie a-t-elle vraiment un sens si on ne peut plus aimer avant de mourir ? Les questionnements que ce film soulève ont été relativement intéressant et l’émotion y était présente. Ce sera 14/20 en ce qui me concerne.

"On va rencontrer des milliers de gens sans qu’aucun ne nous touche et puis on rencontres une personne qui change notre vie... à jamais" Très triste pour une rom com. Mais une tristesse arbitrairement provoquée par la profondeur des sujets abordés et des personnages mis en scène. Les dialogues sont percutants : bordel, j’AIME quand les personnages sont intelligents, parlent rapidement, articulent, et ressemblent à des héros de tragédie grecque (oui Hanne athaway, tes yeux légèrement incliné vers le bas ne laissent aucun doute quant à ton syndrome de parkinson et la couleur du film).

Anne Hataway … mais un scénario un peu poussif

Vu avec Melvin et Fanny à Bordeaux Film qui a très mal vieilli reprenant tous les vieux codes de la comédie romantique à l'américaine Ça pourrait être sauvé par le fait qu'Anne Hathaway joue Un Personnage atteint de parkinson c'est un peu abordé mais sans plus Et avec le recul c'est des comportements toxiques qu'on trouve cool par le film c'est dommage