Summary
On the Italian Riviera, an unlikely but strong friendship grows between a human being and a sea monster disguised as a human.
j’ai adoré ce pixar le charme du petit village italien, l’amitié des personnages, les couleurs fin assez émouvante mais tout est bien qui finit bien
Luca n’a pas déchaîner les passions. Beaucoup l’ont vu comme un Pixar mineur, voire industrialisé. Et ils n’ont pas tort. Car Luca s'inscrit à des années-lumière des fulgurances des débuts, ou plus récemment de la poésie de Vice-Versa. Il n’y a pas de concepts forts et novateurs, d'audace, ou encore de ce qui distinguait immédiatement Pixar en matière d'animation. En effet, le studio a voulu ressortir quelque chose de plus simple après le magnifique mais trop complexe Soul. Le film est sans grand enjeux, la volonté des protagonistes étant d’obtenir une vespa. De plus, on a une bromance, avec les mêmes étapes moisies. J’aurai préféré voir un film avec des gens qui sont amis et qui n'a pas besoin de les faire se séparer pour une raison idiote, puis retourner ensemble le tout parce que le scénario l'a décidé car c'est comme ça qu'on a toujours fait... Surtout que la séparation est clairement sous-exploitée et aurait dû durer plus longtemps. C'est ça le problème on ne fait pas grand chose des situations proposées et elles sont toutes assez convenues. De ce fait, la seule chose que je me souvienne, c’est la dolce vita. La Dolce Vita, c’est une vie au rythme des journées ensoleillées, en profitant des petits plaisirs de la vie. En somme, une vie détendue, chaleureuse, et très ancrée dans le moment présent. Et ce film en est le parfait exemple. Il est parfait pour les vacances d’été ou pour les clôturer. L’action se déroule sur la côte italienne et plus particulièrement dans le village fictif de Portorosso qui est une ode à la Riviera italienne, comme l’était avant lui Porto Rosso -coïncidence? (Question réthorique)- avec ses ruelles pavées, ses étals de fruits, ses plages tranquilles et son eau scintillante. Les personnages passent du temps à nager, rêver, bricoler une Vespa… sans avoir des grandes ambitions ou le stress du monde moderne. De plus, l’émerveillement de Luca devant chaque petite chose (le train miniature, les pâtes, les affiches, les gens) exprime cette sensation d’intensité joyeuse typique de la dolce vita. « Une Vespa n’est pas juste un moyen de transport… C’est la liberté ! » Cette phrase résume la dolce vita rêvée : la liberté de partir où on veut, cheveux au vent, sous le soleil italien, sans autre but que d’en profiter. « Silenzio, Bruno ! » Cette phrase devient un mantra pour dépasser ses peurs et vivre pleinement, sans souci du lendemain — très dans l’esprit de la dolce vita. Même l’esthétique générale du film (couleurs chaudes, rythme lent, musiques italiennes rétro) célèbre cette “dolcezza”. Les personnages principaux sont attachants. L’amitié entre Luca et Alberto est insouciante, ancrée dans l’instant, et évoque les souvenirs d’enfance d’un été éternel. Par contre, le gars qu’on peut qualifier de méchant du film est juste agaçant, et jamais drôle, alors que je pense que c’était clairement le but. Au final, le soleil, la mer et une Vespa. Peut-être est-ce là le vrai bonheur ?
Luca rêve de découvrir le monde extérieur et de se sentir libre Le pouvoir de l’amitié et de la liberté Des poissons et des Italiens, tout pour me plaire
Recommandé par Sohane
Beau sur l’amitié et le fait d’oser des choses dans la vie 🫶 ciao Bruno!
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