Meanwhile on Earth

Sans intérêt Long Melange de genre Confus

2024

Elsa, 23 ans, a toujours été très proche de son frère aîné Franck, spationaute disparu mystérieusement trois ans plus tôt au cours d'une mission spatiale. Un jour, elle est contactée depuis l'espace par une forme de vie inconnue qui prétend pouvoir ramener son frère sur Terre. Mais il y a un prix à payer. Avec de belles qualités formelles, ce premier essai en prises de vues réelles du réalisateur J'ai perdu mon corps surprend par ses ruptures de ton, avant de s'engager dans une voie plus banalisée qui nous laisse sur notre faim. Nul besoin d'effets spéciaux spectaculaires pour embarquer le spectateur, consentant à l'étrangeté, dans ce récit singulier qui raconte aussi, à travers des petits bijoux de séquences animées, la nostalgie de l'enfance. Mêlant prises de vues réelle, séquences animées, maquillage SFX body-perturbant (par l’incontournable Olivier Afonso) et imaginaire de la périphérie (en l’occurrence, une petite commune rurale), ce second long métrage coche toutes les cases de la French touch contemporaine (Le Règne animal, Vermines…).

Un très beau film de science fiction français, doux mélange entre mystère et poésie

Poétique

« Pendant ce temps sur Terre » raconte la folle histoire d’une jeune femme qui parvient à communiquer avec des extraterrestres lui promettant de ramener son frère disparu dans l’espace en échange de leur présence sur Terre. Sur la papier, why not j’ai envie d’dire. Mais que sur le papier. Vraiment très difficile à rentrer dedans, j’ai dû me remettre plusieurs fois certains passages pour aller jusqu’au bout. Et même en ayant été jusqu’au bout je n’ai malheureusement pas été très convaincu par l’ensemble. Je mets 6 pour l’originalité allez