Summary
In the summer of 1991 an elderly woman Ghislaine Marchal is found murdered in the basement of her home with the message "Omar M'a Tuer" (Omar has kill me) written beside in her own blood. Despite a lack of forensic or DNA evidence, her Moroccan gardener Omar Raddad is found guilty and sentenced to 18 years in a French prison. Shocked by the case, and convinced of his innocence, journalist Pierre-Emmanuel Vaugrenard moves to Nice to investigate, and uncover the truth...
Noté 7/10 par Kella Alia "Très bonne performance de Sami Bouajila dans le rôle d’Omar Raddad, qui m’a donné envie de lire son livre "
Très bonne performance de Sami Bouajila dans le rôle d’Omar Raddad, qui m’a donné envie de lire son livre
Inspiré d'une histoire vraie dont la prof de français nous avait parlé. Une vraie injustice qui mets en avant un vrai défaut dans la justice française, qui pourrait être une tendance à la facilité ou à bâcler les affaires mais en tous cas sur un gros fond de racisme. La tentative de suicide est vachement hard quand même.
Demontre bien le racisme
J’ai adoré, et bien pleuré aussi ! C’est vraiment frustrant de voir d’une part, toutes ces incohérences soulevées dans le dossier. Et d’une autre, son incapacité a prouvé son innocence. Ce qui m’a le plus touchée, c’est la situation. Mais surtout le fait qu’il dise lui même que le vrai coupable l’a aussi tué. Je n’ai pu retenir mes larmes quand il est retourné chez lui, et qu’il attendait qu’on lui dise de rentrer comme s’il était un étranger à sa propre maison. Puis lorsqu’on voit que ses enfants ont grandi père, sans qu’il ne puisse le voir. Le plus petit ne le connaissant même pas en réalité. Ça brise le cœur qu’une injustice comme celle ci est volée la vie d’un honnête homme. Je recommande vraiment !
J’ai un peu pleuré, l’acteur est touchant. D’un point de vue extérieur, c’est rageant de voir une telle injustice, mais alors je n’imagine pas ce que ça peut faire d’être son entourage ou à sa place. Je trouve ce film à la fois décourageant mais aussi encourageant. Le processus et la manière dont il est traité conduisent au dégoût, mais le soutien qu’il a autour donne espoir. Cela montre aussi le racisme que les étrangers pouvaient subir à cette époque (malheureusement c’est encore possible aujourd’hui).