Public Opinion
150 reviews
6/10
6.3/10
Opinions on 'Peter von Kant' are mixed, with some viewers appreciating the theatrical staging and intense portrayal of complex relationships, while others found the film's execution lacking, particularly criticizing some performances as unconvincing. The film's unique setting and the dramatic interplay between characters intrigued many, though some felt it failed to fully engage or was overshadowed by its theatrical origins.
👍 Unique, theatrical staging
👎 Some performances felt unconvincing
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Pas un mauvais film mais un Ozon oubliable. Les comédiens ne sont pas bons, Ménochet le premier, à contremploi. Seul Stefan Crepon est surprenant et marque par son interprétation muette. A l’origine, c’était une pièce et ça aurait dû le rester. A voir sur une scène, pourquoi pas, il y a un sacré boulot d'interprétation mais comme objet filmique, c'est ici bancal et peu passionnant. Sujet déjà tellement mieux traité ailleurs, notamment chez Bergman.
6,5
Noté 3/10 par Laurence Fournier
Grosse merde
La photographie est vraiment superbe, sensible, chaque personnage est une immense solitude, le huis clos est très représentatif de ce qu'il se passe tout au long du film, où les uns se heurtent aux autres sans parvenir à sortir d'eux-mêmes Très théâtral et français Sur fond de rupture, ou d'incapacité d'amour, on peint des relations utiles, des egotrips, et seulement à la fin, la douceur d'une mère qui répare, la fille qui reste, et puis rideau, puisqu'ils est temps de guérir
Adaptation d’un sujet initialement écrit pour le théâtre. La scène est 50 ans en arrière, quand Fassbinder sort son film ("Die bitteren Tränen der Petra von Kant"), en 1972 donc. Ce n'est pas, aux dires du réalisateur, un remake - d'ailleurs l'original dure une grosse demi-heure de plus. L'histoire, signée Ozon aussi comme à l'accoutumée, est "librement adaptée" de RWF. La mise en scène et les dialogues restent très théâtraux, huis-clos inclus mis à part quelques très courtes scènes de liaison. Une histoire d’amour, passionnelle et charnelle, mais entres hommes. Un thème que ne méprise pas le réalisateur comme chacun sait. On aurait pu penser que l’introduction d’un personnage féminin dans cette relation, en la personne d’Isabelle Adjani, amène un peu de douceur, moins d’hystérie, avec une autre approche sur le fond, Mais que nenni, l’actrice de renom et de talent n’est guère présente, même si elle aura et tiendra un rôle dans le dénouement. On peut se demander si elle n’est pas dans la tête d’affiche simplement pour attirer un public plus large que celui que le thème traité est susceptible d’intéresser. Un film d’ambiance, de genre. D’un autre réalisateur, ça ne retiendrait sans doute pas autant l'attention du public et de la critique.