
2022
•
Drame / Horreur
•
1h42
Résumé
Une adaptation cinématographique d'une nouvelle du best-seller Joe Hill.
Opinion du public
1.7k avis
7.5/10
6.9/10
Viewers generally find 'The Black Phone' to be a gripping blend of horror and drama, with its unique premise of a kidnapped boy receiving help from past victims via a disconnected phone. The film is praised for its suspenseful and emotionally impactful narrative, strong performances, especially by the younger actors, and its blend of supernatural elements with a realistic 1970s setting. However, some find the horror elements like jump scares a bit predictable, and the backstory of the antagonist underdeveloped.
👍 Unique premise of supernatural aid in a kidnapping scenario.
👎 Some backstory elements remain unexplained.
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Another film that was quite tense at the start but then didn't seem to make much sense once the main character was captured. Didn't quite work for me
The Black Phone est un film qui surprend par sa retenue. Là où beaucoup de productions d’horreur actuelles jouent la carte du sursaut facile et des jumpscares en rafale, celui-ci préfère installer une tension sourde, presque poisseuse, qui colle longtemps après le générique. Scott Derrickson, de retour à l’horreur après Sinister, signe un film moins démonstratif, mais plus émotionnel et psychologique. L’histoire de Finney, gamin introverti kidnappé par un tueur masqué, pourrait être un simple thriller de survie. Mais le film prend un détour inattendu : ce téléphone noir, posé dans une pièce vide, qui sonne… alors qu’il ne fonctionne pas. Chaque appel devient un pont entre le présent et les victimes du passé, transformant le film en conte macabre où les morts deviennent les alliés du vivant. La dimension surnaturelle est utilisée avec une sobriété étonnante : elle ne sert pas à effrayer, mais à guider, à transmettre, à réparer ce qui a été brisé. Ethan Hawke, terrifiant derrière son masque à moitié figé, incarne un tueur glaçant justement parce qu’il reste humain — trop humain. Pas de surenchère, pas d’explications inutiles : il est une menace brute, une présence dérangeante. Le film s’attarde davantage sur les enfants, leurs peurs, leur courage, et surtout cette violence familiale qui plane dès les premières minutes, rappelant que parfois, l’horreur commence déjà chez soi. Là où The Black Phone est le plus réussi, c’est dans sa façon de raconter un récit initiatique déguisé en film d’horreur. Finney n’y affronte pas seulement un ravisseur : il affronte sa propre incapacité à se défendre, à prendre sa place. Et chaque appel fantôme lui sert à se reconstruire, morceau par morceau.
I can't kill you hiro de puta
Love this movie
C’était pas mal, j’aime beaucoup la mécanique de souvenirs/rêves… J’ai eu un peu de mal à me mettre dedans le début est un poil lent à mon goût mais j’ai bien été surprise !
Such a great horror film, its really refreshing to see a new unique horror film so I really liked this film. The Grabber was chilling and super intimidating, Finney was an amazing protagonist, and this film was super grounded yet impactful and scary. The cinematography was excellent, the visuals were nice, and the story was well done. I liked the side plot with Finney’s sister and it’s pretty interesting how dreams can be supernatural in this universe. This has made me really excited for Black Phone 2, and I can’t wait to see more of Finney and The Grabber. 8/10
Noté 8/10 par Oanell Ayreault
Scénario bien ficelé
J’adore ce genre de film