The Brutalist

🎬  Le film de Brady Corbet cherche à montrer le lien entre l’architecture brutaliste et ses caractéristiques, béton, monumentalité, dépouillement, rugosité, et les psychismes de l’après-guerre, le trauma, les blessures intérieures. László Tóth est un architecte hongrois, juif, survivant de la Seconde Guerre mondiale, qui émigre aux États-Unis après la guerre, tente de reconstruire sa vie, sa carrière, et sa famille, mais se heurte aux réalités du rêve américain. Le terme « brutaliste » renvoie au mouvement architectural du brutalisme, béton brut, formes monumentales, esthétique de la matière, absence d’ornement. Une œuvre ambitieuse, un film de cinéaste, qui cherche autant à imposer une vision esthétique qu’à susciter la réflexion. 🎬 🎬 🎬

Ce film ne laisse pas indifférent. Les jeu de caméra, le silence et les coupures entre les scènes font monter le suspens .

Esthétique, étrangement filmé, laissant planer un malaise signifiant tout le long du film, puissant et beau.

Puissant! Incroyable performance d’Adrian Brody. Je n’ai pas vu passer les 3h35.

Au cinéma (avec Greg et Elora) 🎬

Noté 7/10 par le renard aka le foxito