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The Fantastic Four: First Steps

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7.4/10

2025

Science Fiction / Adventure

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966 reviews

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Summary

Set in the Marvel Cinematic Universe (MCU) and based on the Marvel Comics characters of the same name.

Reviews and Comments

416 reviews
E
Ernerated ★ 9/10
Yesterday

Originale

Lezly Zmorerated ★ 7/10
2 days ago

J’aime bien l’esthétique mais on a regardé la VF ducoup j’ai eu du mal à rentrer dedans

Jayseun Heurtaultrated ★ 8/10
2 days ago

Une bonne façon d’intégrer les 4 fantastiques 🙃

JL
Julie Laurentrated ★ 9/10
2 days ago

Au ciné avec Julie.

Audreyrated ★ 7/10
2 days ago

« Le monde entier les connaît. Applaudissez les Quatre Fantastiques. Mr Fantastic. La Femme Invisible. La Torche Humaine. Et la Chose » Les 4 Fantastiques, 37ème film du Marvel Cinematic Universe, marque le début de la Phase 6. Cette phase culminera avec les deux Avengers prévus pour 2026 et 2027. Le film se déroule dans une dimension alternative, la 828, et non dans la Terre-626 habituelle. Ce changement est une bénédiction, car il permet à Marvel de s’éloigner de son approche forcée du réalisme, qui ne l’intéresse pourtant guère, en particulier sur le plan politique. Bienvenue alors dans une New York rétrofuturiste dans laquelle les éléments esthétiques des années 60 côtoient la technologie de Reed Richards. A l’instar de Superman (2025), on zappe ici l’origin-story de Reed Richards, Ben Grimm, Sue et Johnny Storm pour nous propulser de suite dans un monde où le quatuor est devenu l’équipe de protecteurs désignée de la Terre. Plus exactement, Premier Pas ose la narration, en refusant les ficelles trop usées du reboot paresseux ou de l’exposition didactique. Pas de longues scènes explicatives ni de flashbacks laborieux pour combler les lacunes. Le récit choisit la voie de la concision intelligente. Il nous projette immédiatement dans un monde déjà en mouvement, sans surenchère ni sur-explication. Le spectateur est invité à rattraper le train en marche, mais sans jamais être abandonné, grâce à un reportage tv ingénieux. Autre point notable, Premiers pas suppose que l’on a assez vu de films de super-héros pour ne plus avoir à expliquer et rationaliser son univers à base d’homme élastique, de corps rocheux, de voiture volante et de petit robot domestique. Côté casting, les choix opérés s’avèrent globalement judicieux, même s’ils n’échappent pas à quelques déséquilibres. Pedro Pascal et Vanessa Kirby (tous les deux merveilleux de vulnérabilité) ont plus à se mettre sous la dent que Joseph Quinn et Ebon Moss-Bachrach, un peu réduits à leur camaraderie moqueuse. Les scénaristes centrent le point de vue des spectateurs sur la famille et non l’individu. L’intrigue ne prend jamais le temps de se concentrer sur un personnage particulier, les 4 Fantastiques avancent ensemble sinon par paires. Il existe un véritable esprit d’équipe, c’est-à-dire non pas des héros en solo rassemblés pour l'occasion, mais une vraie famille, unie dans les épreuves comme dans les dilemmes. Joseph Quinn incarne Johnny Storm avec une sincérité remarquable, évitant ainsi le piège du playboy impulsif et insupportable. Sa performance est empreinte d’une vitalité désinvolte et d’une loyauté farouche, révélant un homme profondément attaché à sa famille et prêt à tout pour elle. Ebon Moss-Bachrach incarne un Ben Grimm, alias la Chose, avec une retenue remarquable. Il a déjà fait la paix avec son apparence, ce qui se reflète dans son attitude. Loin d’être une victime ou une bête de foire, il incarne un homme fort dont la douleur passée semble intégrée et digérée. Sa force tranquille contraste parfaitement avec l’énergie débordante de Johnny. Cependant, son potentiel destructeur n’est jamais pleinement exploité. Pedro Pascal incarne un Reed Richards étonnamment austère. Son Mr Fantastic est avant tout un homme de science, froid et analytique, obsédé par la logique au point d’en devenir presque déshumanisé. Cette froideur maîtrisée rend le personnage troublant. Loin d’être un meneur charismatique, il est plutôt une intelligence fascinante et parfois effrayante. De plus, Reed est un scientifique brillant, mais perdu dès lors qu’il sort de son domaine. Aussi, son pouvoir d’élasticité, pourtant remarquable, est malheureusement sous-exploité. Après One Piece, il est étonnant de constater que les scénaristes peinent encore à en saisir la force. Enfin, Vanessa Kirby est impériale en Susan Storm, la Femme Invisible. Sans jamais forcer le trait, sans avoir besoin de discours féministes, elle s’impose naturellement comme la colonne vertébrale émotionnelle du groupe. Elle s’est se montrer chaleureuse quand l’histoire le demande, ou protectrice et presque animale quand son enfant est en danger. Là encore, on s’étonnera de la proximité thématique du film avec son concurrent Superman. Après des années à faire des super-héros ces mecs en collants bariolés évoluant malgré eux dans des univers sombres, désillusionnés et cyniques, Marvel comme DC se remettent à filmer des personnages profondément bons, conscients de leurs responsabilités. Même si le bien-fondé de leurs actions peut être questionné par l’opinion publique (c’est le cas dans les deux films), ces populations existent dans l’espace filmique, autant pour être sauvées que pour refléter le pouvoir d’inspiration rassembleur de leurs modèles surhumains. La population est donc un personnage à part entière. Elle s’émerveille devant ses défenseurs -merveilleuse scène où la Chose soulève une voiture devant le regard amusé d’enfants-. C’est peut-être bête, mais le MCU avait totalement délaissé ces apartés. Si la scène où Reed Richards face aux caméras avoue sans détour avoir refusé de négocier avec Galactus parce qu’en échange, il aurait dû lui livrer son propre fils, laisse perplexe. On comprend quand même l’idée derrière car il explore la fracture entre les héros et la population, et interroge le regard que chacun porte sur l’autre. Le problème, c’est que dans le contexte du récit, cette confession paraît forcée, et d’autant plus déroutante que Reed est censé incarner l’homme le plus intelligent de la planète. Il manque à cette scène une montée logique qui justifierait ce dérapage. Côté méchant, nous avons la Surfeuse d’argent qui est dramatiquement sous-exploitée. La faute à un scénario resserré sur moins de deux heures qui nécessite de faire des coupes quelque part. Nous avons aussi Galactus le destructeur du monde, qui se fait crescendo : l’annonce de son arrivée, le vaisseau qui sort de la planète, la découverte de son antre, Galactus le géant assis sur son trône prenant la taille de l’écran. Côté humour, on s’éloigne de ce que Marvel était devenu. Oui, l’humour est là, mais il n'est pas infantilisé au maximum, ni matraqué. Une élégance dans le ton, dans le respect du sérieux sans sombrer dans le ridicule, dans cette capacité à glisser de l’humour sans détruire la tension dramatique. Loin des tics d’écriture du MCU, on ne raille pas l’émotion, on ne sabote pas les instants de gravité avec des punchlines désespérées. En somme, le film prend enfin sa dramaturgie et ses personnages au sérieux. Au final, Les Quatre Fantastiques marque le retour de Marvel, mais le film n’a malheureusement pas rencontré le succès escompté. Marvel paye sans doute le prix de ses précédents films.

Julien Gaudetrated ★ 6/10
2 days ago

Dans l’ensemble, le film est inégal : il propose de très bonnes idées, mais aussi des éléments nettement moins réussis, notamment du côté des effets spéciaux. Sans spoiler, certaines scènes — avec le bébé, par exemple — flirtent dangereusement avec la vallée de l’étrange. En revanche, la direction artistique et les décors sont superbes. Gros bémol sur le développement des personnages : difficile de vraiment s’attacher aux Quatre Fantastiques. Même constat pour la bande originale, que je trouve assez insipide. Cela reste, à mes yeux, la meilleure adaptation des Quatre Fantastiques au cinéma… mais il faut dire que la barre n’était pas placée bien haut !

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