The Great Dictator

Créé en 1940, premier film parlant de Chaplin, se moque ouvertement du régime nazi qu’il parodie avec Hynkel, dictateur de la Tomainia (parodie de l’Allemagne). Il tourne en ridicule le régime, j’ai apprécié: « - I have always thought that you were an Aryen - I am Vegetarien » Le penseur de Rodin et la Vénus de Milo revisité qui font un salut nazi Et le discours à la fin fait par le barbier juif qui a remplacé le dictateur, un discours appelant à l’amour et dénonçant les dictateurs manipulateurs

1940

Objectivement: 8/10 Subjectivement: 8/10

Toujours incroyable

Humour un peu con mais sympa

Beau discours de fin avec du dialogue.

Noté 9/10 par Lily DONVAL

Recommandé par Lily DONVAL

En 1918, un humble soldat de Tomania devient amnésique après avoir sauvé la vie de Schultz, un aviateur. Enfermé dans un hôpital psychiatrique. Il s’enfuit et regagne sa boutique de barbier, dans le ghetto juif. Il ignore tout des évènements politiques et s’en prend à des gardes de Hynkel, le dictateur au pouvoir. Hannah, une voisine, le tire d’affaire. Devenu un personnage puissant, Schultz le protège de l’antisémitisme. • Le discours final du film est l’un des moments les plus mémorables. Le barbier s’adresse à la foule avec un appel passionné en faveur de la paix, de la liberté et de la compréhension. Cela souligne le pouvoir de la parole et de l’expression individuelle pour inspirer le changement. • Le film critique la tendance des individus à se conformer à l’autorité sans remise en question. La satire met en lumière les dangers de la conformité aveugle et encourage à penser de manière critique. • Le barbier, bien qu’initialement réticent à s’impliquer dans la politique, réalise les conséquences de son inaction. Cela souligne l’importance de l’engagement individuel dans la cité pour prévenir les abus de pouvoir.