7.9/10
2016
•
Action / Adventure
•
2h36
Summary
A frontiersman on a fur trading expedition in the 1820s fights for survival after being mauled by a bear and left for dead by members of his own hunting team.
époustouflant ! cette histoire de vengeance c’est totalement ma came. ce film me fait beaucoup penser à Gladiator de part son déroulement mais aussi où il a des flashbacks de ça femme et son fils et ça c’est très beau. Alors certes ça n’est pas du niveau de gladiator mais cela reste et restera un chef d’œuvre qui le différencie de part ça beauté visuels. Des paysages magnifiques énormément mis en valeur par ce grand angles qui fait pour tout la beauté de ce film, mais aussi ces longues séquences filmé d’une seul traite c’est formidable. C’est juste du pur cinéma vraiment incroyable. Alors oui certain diront que le film est long parce qu’il n’y a pas beaucoup de parole et que les séquences sont longues mais pour ma part ca m’a sembler si court. Ça rejoint aussi le film knight of cups sur les plans visuel aussi mais pas sur la narration. donc c’est un mixte entre gladiator et knight of cups . Pourquoi je n’est pas vue ce chef d’œuvre plutôt ptn et mon daron qui me disait qu’il était naz ptdr
Noté 9/10 par Yann Viellard "Un choc visuel et sensoriel d’une puissance rare. The Revenant impressionne autant par sa beauté brute que par l’intensité de sa mise en scène. Chaque plan est d’une virtuosité saisissante, capturant la violence et la majesté de la nature avec une précision presque hypnotique. Leonardo DiCaprio livre une performance habitée, physique, bouleversante. C’est une œuvre exigeante, parfois âpre, mais profondément immersive — une expérience de cinéma viscérale et inoubliable."
Ou quand Leonardo DiCaprio décrocha enfin le graal. The Revenant est un survival extrême. D’ailleurs, même le tournage fut extrême. Le film a été tourné au Canada, sans éclairage artificiel, dans des décors entièrement naturels. Le tournage ayant eu lieu en hiver, cela signifie des journées très courtes, des températures descendant jusqu’à -30°C, et le gel et les blizzards omniprésents. D’une maîtrise technique irréprochable, il est difficile de trouver un seul défaut à ce film. La direction d’acteurs est impeccable, la photographie sublime, chaque choix artistique audacieux et le cadrage obsédant. La bande-originale et les décors majestueux ne font que renforcer l’expérience cinématographique. DiCaprio donne tout. Sûrement la performance la plus intense de sa carrière. Il parle peu, mais on lit tout sur son visage. Mais aussi, la plus physique, son travail ici relève plus de la performance flagellatoire que d’une proposition de jeu. A travers son personnage, le film interroge ce qu’il reste d’un homme lorsqu’il n’a plus rien, si ce n’est l’instinct et la rage. Face à lui, Tom Hardy impose une menace sourde, tandis que la nature elle-même devient un personnage à part entière, majestueuse et implacable. De The Revenant, on peut tirer plusieurs leçons. La première concerne la résilience face à l’adversité. Hugh Glass, survit à une attaque d’ours, est laissé pour mort, et endure des conditions extrêmes pour survivre. Ainsi, l’esprit humain peut surmonter des souffrances inimaginables lorsqu’il est animé par une volonté de vivre ou une quête de justice. Ensuite, la vengeance ne guérit pas la douleur. Glass poursuit John Fitzgerald pour venger la mort de son fils. Mais à la fin, il se rend compte que la vengeance ne lui apporte ni paix ni réconfort. La vengeance peut dévorer l’homme, mais elle ne comble pas le vide laissé par la perte. Également, le film montre la nature comme une force à la fois magnifique, indifférente et cruelle. L’homme est petit face à elle, il doit apprendre à la respecter et à survivre avec elle, pas contre elle. Enfin, The Revenant illustre aussi comment la violence entre hommes — colonisation, trahisons, guerres culturelles — perpétue la souffrance. La haine engendre la haine, et sortir de ce cycle demande un choix conscient de renoncement. D’ailleurs, le film est d’une violence crue et viscérale - la scène de l’attaque de l’ours est d’une violence paralysante- Elle n’est pas non plus gratuite : elle sert à plonger le spectateur dans la brutalité du monde sauvage de l’époque, et dans la souffrance intérieure de Glass. Elle accentue la lutte pour la survie et la quête de sens. Mon problème avec ce film, c’est sa longueur, qui s’accompagne d’un catalogue de tous les sévices possibles. Et pourtant, nulle empathie pour eux : leur animalité les réduit à une geste physique qui ne me touche pas, ce qui rend le temps plus long encore. Au final, c’est beau, c’est puissant, c’est éprouvant. Mais le film est comme la vengeance : plat, et il se mange froid.
Noté 9/10 par Yann Viellard "Un choc visuel et sensoriel d’une puissance rare. The Revenant impressionne autant par sa beauté brute que par l’intensité de sa mise en scène. Chaque plan est d’une virtuosité saisissante, capturant la violence et la majesté de la nature avec une précision presque hypnotique. Leonardo DiCaprio livre une performance habitée, physique, bouleversante. C’est une œuvre exigeante, parfois âpre, mais profondément immersive — une expérience de cinéma viscérale et inoubliable."
Bon film l'aventure est folle, tout ce que vit le personnage principal est incroyable. C'est intéressant, bien rythmé. La trahison est parfaite et très bien placé, l'antagoniste est trop bien. Les personnages sont bien développés, avec chacun leur personnalités. Les acteurs jouent tous très bien surtout le protagoniste et l'antagoniste. Il y a de très beaux plans. Certaines scènes sont originales, uniques, speciaux et marquants. J'aurais juste aimé voir la réaction des gens en direct quand ils apprennent qu'il y a un traître parmis eux, mais c'est pas grave.
Noté 8/10 par le renard aka le foxito