
The Stranger
2025
•
Drama / Crime
•
2h02
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Summary
In 1930s Algeria, Frenchman Meursault's emotional detachment leads to a murder, scrutinized by a skeptical trial, adapted from Camus' "The Stranger."

2025
•
Drama / Crime
•
2h02
Summary
In 1930s Algeria, Frenchman Meursault's emotional detachment leads to a murder, scrutinized by a skeptical trial, adapted from Camus' "The Stranger."
Public Opinion
1.1k reviews
7.6/10
7/10
Viewers are captivated by François Ozon's adaptation of Camus' 'The Stranger', particularly praising its faithful rendition and the striking black and white cinematography that enhances the atmospheric depth of 1930s Algeria. Benjamin Voisin's portrayal of Meursault is consistently highlighted for its nuanced depth, embodying the character's chilling detachment. While the film's slow pace and minimal dialogue are seen as a thoughtful reflection of the novel's themes, some found these aspects made the film drag, occasionally feeling too lengthy or monotonous.
👍 Black and white cinematography enhances atmospheric depth.
👎 Pacing may feel slow and monotonous to some.
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Superbe esthétique Benjamin Voisin est excellent, tout comme Pierre Lottin.
Une belle expérience visuelle, une atmosphère très réaliste malgré des passages un peu longs, l’interprétation des acteurs est d’une grande justesse.
Super 👍
De très belles images une certaine liberté avec l’histoire un benjamin Voisin qui transperce l’écran 🤩
Je suis déçue. Effectivement, c’est une histoire très difficile à raconter, presque impossible. On ne comprend déjà pas l’engouement du début pour Camus alors l’adapter au cinéma, encore plus compliqué. Mais le choix a été fait de l’adapter alors il faut l’assumer. J’ai trouvé cela beaucoup trop guindé, poli, esthétique. Ça ne représente rien du contexte qui seul peut donner à l’histoire la possibilité d’exister. On est en Algérie, au milieu du 20è siècle, le racisme gronde, les esprits sont prêts à se révolter. Alors du beau, du sensuel, face à l’absurde et à la dureté de la situation ? C’est clairement du contre-sens. De plus, François Ozon est pour moi un réalisateur d’histoires (parfois d’ailleurs bon!) plus qu’un réalisateur d’image. Ce n’est pas grave, c’est ceux que je préfère. Mais il faut connaitre ses faiblesses et ses qualités. En l’occurence, François Ozon n’a, pour moi, pas les épaules pour produire ce genre de création. Et c’est bien dommage. Cela se veut beau mais il n’y a même pas la substance intellectuelle pour que cela le soit : il faut réfléchir à l’image, beaucoup plus que ce que l’on pense. Et puis, je me suis fait chiée aussi : on se fait balader comme ça dans l’histoire, les traits de personnalité des personnages sont parfois tournés au grotesque (faute de goût) ce qui enlève toute la poésie de l’histoire. Meursault paraît parfois totalement con alors que ce n’est pas du tout le message qui doit être passé. Je pense que même si ce n’était pas non plus horrible, c’est un échec.
Un film inhabituel dans la filmographie d’Ozon. Il a plusieurs maîtres en cinéma. Là il se rapproche du dépouillement bressonnien. C’est un film âpre mais chaud. Benjamin Voisin excellent.
Très belle adaptation du livre. La lumière est parfaite, Bien apprécié la musique de fin avec The Cure
Assez compliqué mais franchement intéressant fait énormément réfléchir
Je pense qu'il faut lire le livre avant de voir le film. Mais j'adore l'esthétique du film.