Summary
A historical epic inspired by the true events that happened in The Kingdom of Dahomey, one of the most powerful states of Africa in the 18th and 19th centuries.
J’ai adoré ce film. Vraiment adoré. On ne voit pas beaucoup de films d’époques sur cette partie du monde, encore moins sur l’histoire qui s’y déroulait en parallèle de celle que l’on nous a apprise. Ajoutez-y un gang de femmes guerrières et solidaires et je suis conquise. La réalisation est très belle, la photographie léchée comme sait le faire Hollywood, et j’ai trouvé les décors vraiment bien foutus. Je me suis surprise, au début, à penser qu’ils ne flattaient pas vraiment notre beau continent mais, en réalité, ils nous permettent de découvrir un autre pan du monde, différent mais pas moins bon ou moins joli. À l’inverse des autres films au casting presque exclusivement afro-américain, j’ai trouvé celui-ci, grâce à son réalisme, particulièrement brillant. Il humanise, donne un passé, des idées, des opinions, à des « vrais gens » et, mine de rien, on ne voit pas souvent ça dans la fiction. Je ne connais pas bien les détails de l’histoire de cette région mais je vais tout de même affirmer qu’ils ont fait un très bon boulot, romancé comme partout dans la fiction donc argument non retenu (j’ai lu des critiques qui hurlaient au scandale parce que les Dahomey sont présentés comme les Gentils alors qu’ils ont largement contribué au marché des esclaves… oui, et alors ? ça ne gêne personne quand on le fait pour les Blancs). Sinon, on découvre de puissantes caractères - j’ai un crush sur Izogie, même si je me doutais bien de sa mort, j’en ai eu le cœur brisé - et la lead est une belle révélation pour moi. L’un de mes parties préférées du film : les scènes d’action, ambitieuses si bien chorégraphiées, souvent couplées à des séquences musicales que j’ai replay une dizaine de fois. La bande-son est d’ailleurs super. Enfin, j’ai beaucoup apprécié qu’on humanise jamais les Occidentaux. On voit souvent l’inverse fait dans le cinéma où les Noirs restent une masse non identifiable et homogène. Ici, les rôles sont redistribués et les Blancs, bien présents comme on le sait, apparaissent toujours dans le fond, souvent flouté et en groupe, et le seul dont le visage, et une partie de l’histoire, est incarné, c’est parce qu’il est lié à un autre personnage racisé, Malik, qui jouera un rôle important dans l’intrigue. Cela ne le rend pas tellement sympathique, bien au contraire, et sa mort, vraiment violente, me satisfait assez. Malik représente d’ailleurs un pont entre l’Afrique et l’Occident et , si son allégeance est établie à la fin, elle porte un message d’unité future. J’ai franchement adoré le film et il va rentrer dans la liste de ceux que je veux revoir à l’infini. Je suis très simple oui, et je ne veux pas en avoir honte. jjj
Thème plutôt original qui aurait pu donner un vrai bon film s'il n'enchainait pas les clichés. Tellement convenu finalement.
Netflix Vu en VO
L’idée est bien mais l’histoire est moyenne parce qu’il y a toujours une fille qui doit tomber amoureuse d’un garçon. Le mec sauve toujours et le code vestimentaire est assez trop cliché.
Esclavage, femmes de pouvoirs, femmes guerrières. Indépendance. Très beau film.
Puissant Quelles femmes guerrières ✊🏾