
2023
•
Comedy
•
2h
Summary
Albert and Bruno are in the red, compulsive consumers, over-indebted, they live between petty schemes for one and a personal life adrift for the other. It is in the associative path, which they both take to get their heads above water, that they will come across young rebellious activists, climate alarmists, lovers of social justice and eco-responsibility. More attracted by beer and free crisps than by their arguments, Albert and Bruno will gradually integrate the movement without conviction, if not that of taking advantage of each action and each rebellion to schem and profit from it. Between ideological or suffered minimalism, between overconsumption and happy sobriety, we face the complex simplicity of our future, the oppositions and paradoxes of our time, in short, everything is fine.
Public Opinion
3k reviews
6.7/10
6/10
The reviews for 'Une année difficile' present a mixed bag of reactions. Viewers appreciated the film's humor and the performances of the lead actors, particularly praising the chemistry between Pio Marmaï and Jonathan Cohen. However, many felt the film struggled with its portrayal of environmental activists, often veering into caricature, and criticized its superficial treatment of serious themes like consumerism and ecological activism. The film's attempt to blend comedy with social commentary received a lukewarm response, with some finding it entertaining yet lacking depth.
👍 Strong performances by lead actors.
👎 Treatment of serious themes may feel superficial.
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Rigolo tout en offrant une réflexion sur l'urgence climatique et l'éco anxiété !
Un propos dérangeant sur l engagement écologique. On aurait aimé un humour plus décalé. On peine à s attacher aux deux héros.
Cinéma
Comme Une zone à défendre (2023), une proposition intéressante sans être marquante. Johnathan Cohen d’une drôlerie absurde et en contraste avec l’excellente Noémie Merlant.
nullissime
Ce n’est vraiment pas le meilleur film de Nakache et Toledano, loin derrière le chef d’œuvre de comédie qu’était le sens de la fête. Il y a du rythme, ça se laisse regarder, une très belle bande son, un Pio Marmai touchant (même si il fait du Marmaï), une Noémi Merlant que j’ai pris plaisir à revoir, un Jonathan Cohen et surtout un merveilleux Matthieu Amalric (comme toujours). C’est assez caricatural, un peu attendu mais la fin est plutôt touchante et originale et cela questionne un peu sur notre société de consommation même si cela ne va pas bien loin et qu’il y a une moquerie sur ceux qui luttent un peu radicalement contre. Le souci est qu’on perçoit mal le point de vue des reals, on est entre la comédie et le film critique. C’est parfois drôle mais on n’a pas envie de se moquer de ceux qui, même si c’est parfois too much, essaient d’être cohérent entre leurs idées et leurs actions. L’amour sauve tout, nos travers, nos obsession, nos radicalismes, le covid a permis de voir un monde avec une forte baisse de consommation et de pollution…. Ouais… c’est léger quand même. Dommage car ils semblaient s’attaquer à un sujet important, comme dans Hors Limite cela ne va pas assez loin mais là en plus, ça pourrait même desservir le propos. Après ça reste du cinéma maîtrisé, bien fait (belle image, bonne bande son, montage efficace…), il y a de la bonne humeur, du populaire au vrai sens du terme et une critique (celle-ci claire même si atténuée par la comédie qui aurait pu être plus « dérangeante ») de la surconsommation et de l’endettement.
Quelques moments amusants mais le grand écart entre la problématique du surendettement et l'activisme écologique n'est pas toujours maîtrisée à cause de grosses lacunes dans l'écriture et la réalisation.
Sympathique mais plutôt caricatural en ce qui concerne les activistes écolos. Une fin sous forme de conte philosophique assez peu crédible
Avant-première à Lannion