Summary
Chris is a drug dealer who finds an abandoned baby on his doorstep and cares for the little one.
Duuuur ! Mal joué, mal dirigé, mal réalisé (des effets de clip des années 2010). Histoire bancale, ambiance très masculine, éléments incohérents,.. A oublier.
Beaucoup de stéréotypes mais bon au final vrai .. Pas mal sinon
Quelques légèretés scénaristiques mais beau film dans l'ensemble qui nous plonge dans les problématiques de la société guadeloupéenne avec à la fois humour et sérieux
Une histoire qui se déroule dans un contexte d'ultra violence qui montre les côtés que les touristes métropolitains ne voient pas à la Guadeloupe. Les problématique politiques sont peut-être pas assez abordées mais c'est pas le but non plus. Ça fait quand même plaisir un film tout en créole! J'ai tellement chialé...
Cela fait un moment que j’attendais de pouvoir le voir !!! Le film m’a captivée malgré quelques longueurs dans certaines scènes, parfois, j’avais comme l’envie d’avancer de quelques secondes... Ce film marque la volonté de Nelson Foix, son auteur, de raconter une histoire locale, en créole, avec des acteurs du territoire, pour offrir une représentation authentique de la jeunesse antillaise. Je ne connaissais pas bien la réalité sociale de la Guadeloupe, mais la VO créole et les personnages m’ont touchés. J’ai adoré le fait qu’on soit littéralement plonge dans cette Guadeloupe locale : l’accent, les acteurs, les paysages et même la musique (j’ai reconnue Kalash mdr). => contexte : “La Guadeloupe connaît une situation sociale difficile, avec un taux de chômage élevé et une jeunesse souvent confrontée à la précarité et à la violence urbaine. Ces difficultés s’expliquent en partie par un passé colonial marqué par l’esclavage et une domination économique postcoloniale qui continuent d’influencer les inégalités sociales et les rapports de pouvoir. Ce contexte historique et social nourrit les tensions et les frustrations vécues par les jeunes, et offre une toile de fond essentielle au film. Zion plonge ainsi le spectateur dans une réalité guadeloupéenne authentique, loin des clichés, où les questions d’identité, de liberté et d’héritage culturel prennent toute leur dimension” Je n’ai pas tout compris, notamment la décision de Tidog de ne pas tuer l’enfant à la fin. Peut-être est-ce lié à la statuette de la Vierge Marie que le bébé tient dans les mains ? Au début, Chris est vraiment agaçant : il accumule les mauvais comportements, et cela continue tout au long du film. Il a clairement beaucoup de chance d’être encore en vie à la fin… Et pourtant, on finit par s’y attacher, surtout au moment de son choix final, lorsqu’il prend Zion sous sa protection pour toujours… Le titre Zion est particulièrement beau à mes yeux. Pour sa mère dans le film, ce mot signifie « le paradis sur Terre ». Mais dans la culture afro-caribéenne, Zion évoque aussi la résistance, la libération, un ailleurs meilleur. Ce double sens renforce la portée symbolique du film : la possibilité d’un renouveau, d’une escapade vers un futur lumineux, malgré la dureté du quotidien.
Bien 👍🏾. Tendu