
2024
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Bryan Fuller
Résumé
Dix ans avant Kirk, Spock et l'Enterprise, l'USS Discovery découvre de nouveaux mondes et de nouvelles formes de vie alors qu'un officier de Starfleet apprend à comprendre toute chose étrangère.
J'adore.
Recommandé par l'IA Memorizer
Saison 3 qui impose le wokisme à l’épisode 8 vient tout gâcher … dommage car de beaux effets spéciaux et des personnages intéressant (en dehors de Michael qui est et se prend pour le centre du monde …)
Recommandé par Memorizer, car vous avez aimé 'The Mandalorian'.
Saison 3 et 4
La saison commence de manière dynamique mais avec un copie coller de l’intro de Star Trek into the darkness : l’exploration d’une planète peuplée d’autochtones à la peau de craie qui se transforme en course-poursuite et se finit par nos héros faisant un saut dans le vide pour retomber sur leur vaisseau. Et j’ai vérifié, je suis pas la seule. De plus, la saison 4 recycle le synopsis de la saison 2 avec une anomalie gravitationnelle. Pourtant, en parallèle, on suit la reconstruction de la Fédération. Si la reconstruction passait par la confiance, la fraternité et l’optimisme, très vite elle posait ses fondations sur un sentiment de trahison après un passé tumultueux. Et cette intrigue avait des idées. Néanmoins, la série refuse à plonger dans le chaos, dans la violence qu’implique la méfiance. Peut-être pour garder à l’esprit l’utopisme qui colle à la peau de la franchise ? Dans tous les cas, Discovery a tout fait pour éviter de pimenter l’histoire avec cette intrigue. Si certains peuples se montrent méfiants à l’arrivée du vaisseau pour les enrôler dans leur drôle de secte, il suffit d’un discours de la part de Burnham pour que tout le monde signe. De plus, lorsqu’un débat a lieu pour savoir quoi faire de l’anomalie, les représentants de cette nouvelle Fédération se retrouvent pour voter. Deux choix : la destruction du phénomène afin d’être en sécurité ou aller pacifiquement à la rencontre de ceux qui la contrôlent. Aux balbutiements d’une telle coalition, il aurait été normal de voir quelques frictions, voire une véritable sécession. Mais encore une fois, Michael, en véritable messie de la Fédération, expédie en un discours les doutes et presque tout le monde vote pour la voie diplomatique. De ce fait, on peut avancer en sautant des épisodes qu’on a rien loupé, tellement qu’il ne se passe rien. Et ce n’est pas les membres de l’équipage qui vont nous aider à nus occuper. Ils ne font que tourner en rond. Ils n’avancent pas dans leur progression, voir pire, ils régressent. C’est notamment le cas pour Tilly, auquel les scénaristes lui ont créé des faux problèmes, pour lui créer une péripétie, mais qui vient totalement détruire ses choix précédents. Juste pour qu’elle parte du vaisseau, afin de justifier la création d’une nouvelle série. La série va même rechercher des vieux traumatismes de la saison 1 qui ne sont inutiles que ce soit pour le scénario ou le développement du personnage (Hugh Culber a été tué par le Lieutenant Tyler lors du dixième épisode de la saison 1 avant de ressusciter trois épisodes plus tard. Tout le monde était passé à autre chose et la série aurait dû en faire autant.) On a également les personnages non binaires, symbiotes humaines qui deviennent humains puis ne le sont plus puis le ressort. J’ai rien compris. Et de toute manière, rien de bien intéressant. Juste un deus ex machina. Michael continue d’être Michael, c’est-à-dire personnage n’échouant jamais. Même quand elle échoue, elle réussit. Personne de bien important ne meurt. Et en plus elle a souvent la réponse. On a Book qui lui au moins un traumatisme récent mais avec une histoire toujours mais toujours aussi mal écrit puisqu’il part avec une balle dans le pied vu son développement dans la saison précédente. Il passe de rebelle à matyr puis devient le sauveur. Car évidemment, ce comportement est éphémère et ne fait jamais basculer le personnage dans le côté obscur. Ainsi, sans surprise, il retourne dans le camp des gentils à la fin de la saison, et dans les bras de Michael. Encore un personnage qu’on balade un peu avant de le remettre à sa place, pas plus avancé qu’avant. À l'image de cette saison qui s'agite pour mieux faire du surplace. Au final, la série est toujours bien trop longue pour ce qu’elle a raconté, ce qui fait que les intrigues s’éternisent et qu’on donne de faux problèmes aux personnages pour meubler la durée.
Star Trek c’est l'exploration de l'espace, la découverte d'autres civilisations et de races extraterrestres, un élan optimiste sur l'avenir, de beaux idéaux humanistes, l'étude de phénomènes spatiaux et une réflexion générale sur les diverses possibilités de vies dans l'univers, de sociétés et de cultures offrant d'intéressantes projections sur notre propre existence et notre évolution. La saison 1 n’est pas vraiment dans cette vision. C’est la guerre à tout va. Surtout que la force de star trek c’était une histoire un épisode. Là, toute la saison se suit et les épisodes sont longs (1H devient la norme). Après l’équipage est sympathique. Et les décors sont réussis. Rey a trouvé son équivalent dans Star Trek avec Michael Burham. (Même si Rey est encore plus forte qu’elle quand même). En effet Burnham pète la classe partout où elle passe. Même si au début elle se fait engueuler. Par contre la saison 1 fait de très belles transitions. La saison 2 se rappelle quand même que c’est Star Trek qu’elle fait. On retrouve ainsi plus d'exploration, d'étranges rencontres, de vrais questionnements et du mystère. De plus, la saison 2 est mieux que la 1 surtout car elle tourne autour de Spock, qui est très bien interprété, et que le capitaine Pike est ultra présent et il claque. Et il y a même un épisode entier qui renvoie vers le pilote original et abandonné de ST : La Cage Mais la série n’est pas totalement du fan service, puisqu’une histoire de voyage dans le temps se met en place qui est plutôt intéressante à suivre. Et également, tous les personnages gagnent en raison d’être. Pour terminer, la série termine sur un voyage dans le futur pour donner un nouveau souffle à la série. Voir un reboot de la série. La saison 3 ne poursuit pas sur l’élan de la saison 2. Pourtant l’intrigue était intéressante The Burn : toute la saison 3 tourne autour de ce mystérieux événement chaotique, qui a quasiment détruit la Fédération, et replongé l'univers dans un âge de pierre cosmique. Car ce futur est paradoxalement un retour en arrière, à une époque où les voyages et les communications étaient plus compliqués qu'un banal saut supraluminique. The Burn est le nom donné à ce moment qui a enflammé tout le dilithium (le minerai magique qui permet de voyager) pour créer une réaction en chaîne, détruisant une tonne de vaisseaux des tonnes et emportant des milliers de vies. Un instant apocalyptique qui a isolé les planètes, et mis fin à l'ère de la Fédération des planètes unies. Pour l'équipage du Discovery, la mission sera de comprendre The Burn, régler ce problème de dilithium, et aider la Fédération à reprendre le contrôle de la galaxie. Pour Michael la rebelle, ce sera d'assumer sa nature de leader et enfin devenir capitaine (comme tout protagoniste de Star Trek avant elle). En bref : destination statu quo. Burnham continue de tenter à détrôner Rey. Elle est toujours indestructible, pete la classe beaucoup trop et en plus on retrouve ses mêmes conflits intérieurs que dans les autres saisons. On ne sent pas d’évolution dans le personnage. Elle est toujours tiraillé entre être libre et devenir capitaine. Et comme elle est le perso principal, évidemment elle devient capitaine à la fin de la saison. Son histoire d’amour avec Book s’arrange rien. Tout commence évidemment dans l'hostilité, comme dans une (bonne) comédie romantique, et ce personnage de baroudeur-écolo, fan de son chat et doté de pouvoirs inattendus, manque de saveur. La saison n'en tire pas grand-chose, et leur romance très plate (avec les passages obligatoires du premier baiser et déclarations en plein chaos) n’aura jamais l’effet escompté. C’est marrant qu’elle soit le perso principal car on a de vrais personnages forts avec de vrais failles qui semblaient plus intéressants à suivre. Doug Jones dans le rôle de Suru à démontrer tout au long des trois saisons qu’il était intelligent et courageux, digne d’être capitaine et son épisode back Story est très émouvant. Michelle Yeoh rappelle qu’elle est une excellente actrice dans son rôle de capitaine puis dans son rôle de kick ass. J’adore. Au final, il est fort probable que Star Trek est le même destin que Star Wars. Ironique vu comment les fans défendent chacun leur saga.
Commence le 17 avril 2024 S1: - C'est agaçant de suivre un équipage avec des personnages détestable. - Pour l'instant seul l'episode 7 vaut vraiment le coup. Ça tourne en rond et je n'en peut plus d'entendre ces klingons immondes parler avec leur pette jupe. - Je n'aime pas quand ils vont dans l'univers miroir. S2: - Tily est insupportable à parler tout le temps. - Michael est la madame je sais tout, elle s'adresse à Pike très hautaine et je déteste ça. - c'est long pour voir Spock - la partie sur tily dans le monde spirituel est inintéressant et long. - Plus la serie avance, plus elle devient pas terrible. Le but de starfleet est de découvrir des planètes... Dans cette série malgré la guerre on ne fait pas ça. J'ai l'impression que le réseau micelien résoud tout les problèmes de chaque épisode. La serie devrait s'appelait Star Trek: Burnham, car la série est trop axée sur Michael Burnham, elle fait tout et est là meilleur 🤮. Sinon j'aime bien le générique.
Netflix / VO Vu saison 3