
J’ai beaucoup aimé cette comédie romantique et toutes ses ramifications. C’est bien filmé mais clairement déçue de la fin à l’eau de rose : une version vraiment réaliste, comme c’est le cas depuis le début, aurait un peu plus mal fait finir ces histoires.
Après une rupture, Jessica, une bourreau de travail new-yorkaise, s'installe à Londres avec l'intention d'être seule. Elle rencontre Felix qui la pousse à reconsidérer sa recherche de l'amour. ▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️ Que faire quand l’homme de votre vie vous largue pour une bombe (Emily Ratajkowski en chair et en os) ? Jessica, trentenaire new-yorkaise aux rondeurs et à l’émotivité débordantes, accepte un job à Londres… et flashe sur un musicien au look emo répondant au doux prénom de Felix. Too Much, doigt d’honneur de celles qui parlent « trop » fort et prennent « trop » de place. Treize ans après GIRLS, la nouvelle série de Lena Dunham défend toujours une féminité désirante et désirable, parce qu’elle ne s’excuse ni de son audace ni de son tour de taille. « Je me suis toujours sentie sexy », clame Jessica (la versatile Megan Stalter) en se déshabillant. Ce qui ne l’empêche pas, lorsque débarque cette fois , d’avoir encore peur de souffrir de la comparaison. Les embûches propres à la comédie romantique relèvent ici des traumas petits ou grands infligés par les standards extérieurs, qui mettent le naturel en échec. 🏵️Rivalités féminines et vulnérabilité masculine Si elles s’adonnent aux joies de l’anglophilie — mariage avec bibis, caméo de Jennifer Saunders —, la créatrice et son héroïne traînent cette inquiétude diffuse, qui fait varier la fréquence de la drôlerie crispée à la neurasthénie festive. La carte postale est parasitée par le bourdonnement d’une anxiété dont il faudra que les prétendants se désengluent — la série désamorçant la rivalité féminine et dessinant, sous les traits de l’idéal, un modèle de vulnérabilité masculine. Jadis étiquetée « voix d’une génération », Dunham, elle-même exilée à Londres et bientôt quadra, retrouve avec Too Much sa veine autofictionnelle (co-créée avec son mari, le musicien Luis Felber, la série raconte leur rencontre), tout en passant le relais. Dans un dédoublement d’une émouvante élégance, elle se laisse le petit rôle de la grande sœur dépressive, qui encourage sa cadette à partir à la conquête du monde. TÉLÉRAMA • Par Caroline VEUNAC • Publié le 10 juillet 2025.
7,5. On voit bien l’influence de Léna Dunham 💜 Et c’est génial de voir une femme grosse en personnage principal, épanouie, belle, et badass. Alors merci 🙏🏻 Les personnages dans leur ensemble sortent des clichés habituels et ça fait du bien, c’est rafraîchissant J’ai particulièrement aimé l’evolution de la "rivalité/ rancœur" féminine en sororité !! C’est ce qu’on veut voir, et ça fait du bien !
Saison 1 Aout 2025
5,5
J'ai trouvé ça tellement beau et émouvant 🥹
j'ai trop trop kiffé au début j'ai vraiment hésité à commencer la série parce qu'elle paraissait super nulle mais au final elle était super drôle mais aussi truc super important c'est la première fois que je vois série avec lapersonne principal qui est grosse sans que ce soit le sujet de la série et ça c'est vraiment cool
Très superficielle à part l’épisode 5