
2012
•
John Steinbeck
Summary
Lennie serra les doigts, se cramponna aux cheveux. - Lâche-moi, cria-t-elle. Mais lâche-moi donc. Lennie était affolé. Son visage se contractait. Elle se mit à hurler et, de l'autre main, il lui couvrit la bouche et le nez. - Non, j'vous en prie, supplia-t-il. Oh, j'vous en prie, ne faites pas ça. George se fâcherait. Elle se débattait vigoureusement sous ses mains... - Oh, je vous en prie, ne faites pas ça, supplia-t-il. George va dire que j'ai encore fait quelque chose de mal. Il m'laissera pas soigner les lapins.
Public Opinion
205 reviews
8.3/10
Readers find 'Des souris et des hommes' deeply moving and emotionally charged, highlighting the poignant friendship between George and Lennie set against the harsh backdrop of the Great Depression. The narrative's simplicity and the intense final act resonate strongly, evoking a spectrum of emotions from hope to profound sadness. While the story's fatalistic tone and the vivid portrayal of societal challenges are appreciated, the dialogue style and pacing receive mixed reactions.
👍 The emotional depth and character development are highly praised.
👎 Some found the dialogue style and pacing challenging.
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Un récit court mais puissant.
Moi qui attendais depuis longtemps de lire ce livre, je crois que j’en suis un peu déçue. Alors on y comprend peut-être mieux cette idée américaine de l’histoire du milieu du 20eme siècle où on dépeint sans y mettre d’émotions, ni de profondeur, pour, je pense, laisser de l’espace au lecteur (cf : Hemingway) mais ce n’est pas renversant non plus. C’est l’histoire touchante de deux hommes dont un est quelque peu demeuré qui vivent la vie états-unienne de cow-boys, allant de ranchs en ranchs. Sauf que cette fois-ci, cela ne se passera pas très bien : le demeuré tuera la femme du fils du patron du ranch sans le faire exprès, afin de juste la faire taire pour qu’il ne se fasse pas gronder par l’autre. Il faudra alors l’abattre, comme un vulgaire animal et c’est l’autre qui s’en chargera : d’une balle dans la nuque. Leur relation est assez étrange et pourtant plébiscitée par tous mais je ne suis pas sûre d’avoir perçu, en dehors de ce qui est montré tel quel, la vraie particularité de leur relation. Peut-être n’ai-je pas assez de connaissances sur leur vie de cow-boys. C’est un argot très populaire, assez incongru, nous permettant de rentrer tellement dans leur quotidien mais cela peut-être un peu lassant. C’est-à-dire que l’histoire est peut-être un peu longue (quand on a lu celles d’Hemingway de surcroît) pour n’avoir qu’un tableau peint comme celui-ci.
J'ai chialéeeeeeeeeeee à la fiiinnnn. Mais chialéeeée comme jamaaaiiiiss.
Une histoire particulière dans un decor de cinéma, j’ai eu du mal à savoir ce que j’en pense mais c’est une parenthese agreable à lire, et assez emotive
Lenny et Georges. Un ranch près de la côte ouest des USA. Des gens simples qui travaillent pour avoir un´ peu d’argent de côté pour nourrir leur rêve d’une indépendance qu’ils ne connaîtront pas. Belle préface de J.Kessel.
Super livre, la fin est geniale les personnages aussi ! Juste un peu decu parce que le cote « voyage » ne se ressent pas et certains chapitres sont un peu tires en longueurs. Mais l’histoire est prenante ! #LLCE #madame kessler
J'ai beaucoup aimé
Seconde lecture de ce court roman de Steinbeck qui prend aux tripes. L’humanité et l’amitié condensées en moins de 200 pages. Cette histoire d’amitié un peu difficile à expliquer entre George et Lennie, ce grand géant gauche et bon. Si bon et doux. Sans aucune notion de ce qui est bon ou mal. La scène finale me donne toujours envie de pleurer.
Magnifique. Parfait. Rapide à lire et pourtant toujours aussi immense.