Summary
A renowned Mexican journalist and documentary filmmaker living in Los Angeles, after being named the recipient of a prestigious international award, is compelled to return to his native country, unaware that this simple trip will push him to an existential limit.
Très très pretentieux et rien compris.
Bergman, La Grande Belleza, Peut-être le plus grand film que j’ai vu dans ma vie… Un film immense qui saisit si bien le mystère de la vie. Comment faire un film encore après ça.
Mouais… CRITIQUE GÉNÉRALE :
https://youtu.be/bQsrhq9qI30 Un journaliste et documentariste mexicain réputé, de retour chez lui, traverse une crise existentielle. En effet, il doit affronter des questions liées à son identité, ses relations familiales, ses souvenirs délirants, mais aussi à l'histoire de son pays. Il cherche alors des réponses dans son propre passé pour assumer l'homme qu'il est devenu aujourd'hui. Date de sortie : 27 octobre 2022 (Mexique) Réalisateur : Alejandro González Iñárritu Nominations : Lion d'or, Silver Lion for Best Director, Plus Cinématographie : Darius Khondji Langues : Anglais, Espagnol Distribué par : Netflix Retour aux sources pour le cinéaste : vingt-deux ans après son premier film, “Amours chiennes”, il fait de Mexico, sa ville natale, le décor de cette comédie dramatique empreinte de nostalgie, qui divise le service cinéma de “Télérama”. POUR Un accouchement qui tourne mal au point qu’il devient préférable de repousser le bébé dans le ventre de sa mère, un homme qui s’envole littéralement dans le désert à la manière de Birdman, un peu d’anticipation (?) avec Amazon qui s’apprête à acheter toute la Basse-Californie (alors que, rappelons-le, le Mexique, vaincu, dut vendre la moitié du territoire de la Californie aux États-Unis par le traité de Guadalupe Hidalgo, en 1848), une bouleversante montagne de cadavres de soldats mexicains, ou encore une séquence de bal dans un bar de Mexico au son d’une version a cappella de Let’s Dance, de David Bowie : bienvenue dans un délire historico-onirique d’Alejandro González Iñárritu qui revient sur son propre parcours d’« immigrant de première classe » à travers le personnage de Silverio, journaliste et documentariste installé en Amérique, mais invité à être célébré dans son pays d’origine. Narcissique, Iñárritu ? Oui, à la manière d’un Huit et demi, et le cinéaste ne se fait pas de cadeau, dans ce film volontiers cruel sur les vertiges de l’identité, où les réalités – intimes, politiques, migratoires – valsent avec l’absurde et se diluent dans le surréalisme. Il y a du Fellini, donc, ou peut-être plutôt du Paolo Sorrentino dans cette réflexion sur la vanité de l’art, et du Luis Buñuel pour la violence de l’allégorie sociale.