
2013
•
Horror / Mystery
•
1h52
Summary
Paranormal investigators Ed and Lorraine Warren work to help a family terrorized by a dark presence in their farmhouse.
Public Opinion
17.3k reviews
8.2/10
7.5/10
Viewers generally praise 'The Conjuring' for its intense atmosphere and compelling performances, particularly highlighting the chilling realism and effective suspense that keeps them on edge. The film's ability to blend genuine scares with a gripping narrative based on true events has resonated well, making it a standout in the horror genre. However, some found the pacing a bit slow and the originality lacking compared to other horror films, with a few expressing disappointment in the somewhat predictable ending.
👍 Chilling realism and effective suspense.
👎 Some found the pacing slow and predictable.
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Recommandé par Anissa BELKHIR
Classique
Inspiré de fait réels Horreur-épouvante (2013)(USA)
Je l'ai visionné avec Morgan au cours d'une soirée Halloween. Bien que l'ambiance était au rendez vous, le film ne correspondait pas à notre attente. Nous attendions un film qui fait PRUR, malheureusement ce fut aussi traumatisant qu'un épisode de Scooby Doo. Je ne le recommande pas, sauf si vous voulez rigoler.
Le meilleur on ne va pas se mentir !
Objectivement: 6/10 Subjectivement: 7/10
Un film d’horreur peut ne pas faire peur. Mais ajoutez la mention “inspiré d’une histoire vraie” et, tout de suite, le flippomètre grimpe d’un cran. L’histoire de Conjuring, qu’elle soit vraie ou pas, on s’en fiche un peu — l’essentiel, c’est qu’elle fonctionne. Et ici, elle fonctionne à merveille. James Wan ne cherche pas la complexité : pas de démons à la mythologie incompréhensible, pas d’exorcisme à la chaîne, juste une maison, une famille, et quelque chose de vraiment, vraiment pas net dans les murs. Le film s’appuie sur des personnages ayant réellement existé : Ed et Lorraine Warren, un couple d’enquêteurs du paranormal qui arpentaient les États-Unis dans les années 60 et 70, un peu comme des Ghostbusters avant l’heure — mais en bien plus sinistres. Le réalisateur coche toutes les cases du genre : la famille qui emménage dans une grande maison isolée, le chien qui refuse d’y entrer (mauvais signe), les portes qui grincent, les ombres qui bougent, la cave sans électricité — bref, rien de neuf sous le soleil noir. Et pourtant, tout marche. Parce que James Wan sait exactement comment orchestrer la peur : il installe une tension insidieuse, joue sur le silence, sur la lenteur, sur ce qu’on croit apercevoir. Et quand la peur éclate enfin, c’est souvent brutal, inattendu, terriblement efficace. Impossible de dire précisément comment il s’y prend, mais le résultat est là : une ambiance lourde, oppressante, presque poisseuse. Le rythme est exemplaire : aucun temps mort, une montée en intensité constante, et un dernier acte à la fois épuisant et jubilatoire. Les quinze dernières minutes ressemblent à un véritable feu d’artifice horrifique — tout explose, tout hurle, tout tremble. À ce stade, on ne cherche plus les incohérences : on est pris dedans, submergé. Et malgré cette tension permanente, Conjuring trouve le moyen d’humaniser ses personnages. Le couple Warren n’est pas qu’un duo de chasseurs de fantômes : on entrevoit leurs blessures, leur foi, leur complicité. La famille Perron, de son côté, inspire une réelle empathie : on veut qu’ils s’en sortent. Même le shérif, figure d’appoint souvent inutile dans ce genre de films, apporte ici une touche d’humour bienvenue — sans jamais casser le ton ou désamorcer la peur. Un équilibre rare. La leçon, si l’on devait en tirer une, est assez simple : Si ton chien refuse d’entrer dans la maison, pars. Tout de suite. Sans te retourner. Wan, lui, ne réinvente rien. Mais il prouve qu’avec des ingrédients archi-classiques, une mise en scène millimétrée et un sens aigu du rythme, on peut encore faire du vrai cinéma d’horreur. Pas celui qui fait sursauter, mais celui qui s’infiltre, lentement, dans la tête — et qui y reste. Au final, « If there's something weird And it don't look good Who you gonna call? Ghostbusters» Ed et Lorraine Warren
Le premier d'une saga très sympa
CONJURING PUTAIN