
2024
•
Documentary
•
1h07
Summary
The journey of 26 plundered royal treasures from the Kingdom of Dahomey exhibited in Paris, now being returned to Benin. Diop artistically voices a new generation's demands.
Je me suis fait ch*er j'ai rien appris le seul truc que j'ai retenu c 26
Super intéressant. Début un peu trop long je me suis endormie mais réveillée au bon moment, moment du débat sur la question de l’éducation, de la place de l’art, du néo-colonialisme français qui s’exerce encore au Benin… Je recommande fortement
Trop envie de le voir pour le sujet et la bande annonce. Un poil déçue, je me suis un peu ennuyée, mais il y a quand même des très beaux moments et le sujet est important. Sur la forme, des prises de parties originales mais peut être un peu trop pleines de flottement, qui tranchent avec des moments de débat très concrets / ancrés
Documentaire très intéressant sur des oeuvres, des trésors rendus au Bénin par la France. Le réalisateur donne des voix aux statues prisonnières, ne voyant pas la lumière du jour. Des étudiants du Bénin débattent autour de ce retour et ce que ça soulève Ça questionne sur la colonisation, leur âme qui a été volée, le fait qu'ils apprennent le français et non leur langue à l'école, ces trésors ont ils vraiment leur place dans un musée, ... Il reste de nombreux trésors en France qui leur ont été volés lors de la colonialisation et qui resteront certainement encore longtemps dans nos musées
Mati Diop (2024) - Les 7 Parnassiens
Trop lent, pas assez de parole / interviews… Du coup on approfondit pas l’impact de ce retour au pays. 26 œuvres restituées sur 700 - après 129ans Les blancs n’ont pas inventé l’esclavage! Les noirs portent, les blancs dirigent encore!
Intéressant, Sur le retour des oeuvres africaines pillées Critique: ne fait pas le choix entre film et documentaire, peu de moyens Mais belles scenes du Benin, montre le retour de 26 œuvres. Pose questions sur comment un peuple peut se construire si on lui vole son histoire, doit on exposer ces œuvres ds musées qui sont une invention européenne alors que sont des pièces de culte
+ : la voix off pour faire parler l’oeuvre, la prouesse d’éviter tout texte, l’assemblée de jeunes qui débattent - : ne faire parler qu’une œuvre, dans le noir uniquement créé des longueurs, et ce choix d’éviter les textes peut produire un manque de contextualisation
Un discours « France dégage » énervant et une voix-off des statues sous-tirées en écriture inclusive désespérante ! Dommage car quelques belles scènes poétiques sur les retrouvailles des statues avec le peuple béninois.