
2019
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Action / Adventure
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2h
Summary
Based on the graphic novels by Mike Mignola, Hellboy, caught between the worlds of the supernatural and human, battles an ancient sorceress bent on revenge.
14/20 sur Amazon
L’affiche nous avait pourtant prévenus « préparez-vous à vivre l’enfer »
Prime vidéo le 21 novembre 2024
Synopsis: Hellboy est de retour et cette fois il doit combattre un trio de géants sanguinaires dans les prairies de l'Angleterre. C'est là qu'il decouvrira la Reine de Sang, Nimue, une ancienne sorcière ressuscitée en quête de vengeance et de chaos... 3ème adaptation du comics de Mike Vignola, cette version est un reboot et n'a donc rien à voir avec les deux épisodes précédants. C'est David Harbor (célèbre grâce à son personnage dans la série Stranger Things) qui reprend le rôle du démon. Le film est ici beaucoup plus sombre et saignant, et il est jouissif de voir les victimes partir en morceaux et gicler sur les murs. L'idée d'utiliser la légende du roi Arthur est également intéressente.
Au ciné avec Julie.
Vu en Mai 2024 sur NRJ12 Même si l'on a pas vu le 1er (là Hellboy est adulte) ça ne gêne pas la compréhension du film. J'ai bien aimé. #Spectaculaire #fantasy #marvel
Merci papa😐👍🏽
Bon reboot de la saga hellboy L’acteur vraiment sympa et les effets spéciaux cool Vu en streaming
Hellboy 2004 Etats-Unis Réalisé par Guillermo Toro 2h8 avec Ron Perlman, John Hurt, Selma Blair Film fantastique Sortie le 11 août 2004. Un diablotin rouge, arraché à l’enfer par des nazis occultistes, est devenu une créature costaude et bourrue que le gouvernement américain utilise pour lutter contre le Mal, en compagnie d’un homme amphibie surdoué et, parfois, d’une jolie fille pratiquant la combustion spontanée… Les mégaproductions américaines à superhéros et effets spéciaux peuvent être aussi de bons films. Le mérite en revient ici à Guillermo del Toro, qui sait trouver le ton juste entre l’audace plastique et l’ironie joyeuse du héros. Car Ron Perlman campe une irrésistible créature atrabilaire qui fume le cigare et se lime les cornes. Son amour impossible pour la jeune « autopyromane » imprègne le récit d’une irrépressible mélancolie. Il suffit de lire, sur le visage de Selma Blair, la malédiction du pouvoir qui la consume pour comprendre que Hellboy n’est vraiment pas un film comme les autres.