
1954
•
Policier / Thriller
•
1h45
Résumé
Un ancien joueur de tennis décide de tuer sa femme pour hériter de son argent et se venger d'un cas qu'elle avait eu. Mais les choses ne se dérouleront pas comme prévu.
Un très bon Hitchcock 😘
❤️❤️❤️❤️ belle intrigue.
Un Hitchcock que j’ai vraiment bien aimé. Un homme apprend que sa femme a une liaison (sans qu’elle ne sache qu’il sait), et planifie son assassinat, avec un plan qui semble parfait. Ça ne se passe pas comme prévu bien sûr, mais les rebondissements s’enchaînent. Le scénario est vraiment très bon, il y a des trucs légèrement tirés par les cheveux mais globalement c’est hyper bien fait. Au final, la tentative d’assassinat n’arrive qu’au milieu du film, et il se passe encore plein de trucs après, ce qui est assez intelligent. Très bien pour un dimanche soir 😉
Très bien
compliqué au début, mais bel épilogue
Le film était bien ficelé et très bien joué, on ne s'attend pas au dénouement jusqu'à la fin !
Chef d’œuvre !!
Avec Le crime était presque parfait, Alfred Hitchcock signe un huis clos redoutablement efficace, qui met en lumière son art de la mise en scène et du suspense psychologique. Le scénario, d’une machiavélique précision, repose sur le personnage de Tony (Ray Milland), mari élégant et manipulateur qui prépare l’assassinat de sa femme depuis plus d’un an avec un sang-froid glaçant. Rien n’est laissé au hasard, et la certitude de son succès est telle que l’échec ne semble pas même envisageable. Pourtant, lorsque son plan vacille, Tony démontre une incroyable capacité d’improvisation, continuant à dominer la situation avec un aplomb implacable. Face à lui, Grace Kelly incarne une épouse prisonnière de ce piège avec une sensibilité bouleversante. Son jeu, à la fois fragile et digne, contribue à accentuer la tension dramatique. À ses côtés, Robert Cummings, dans le rôle de l’amant secret, apporte une présence honorable mais moins marquante. Le cœur du film survient avec l’arrivée de l’inspecteur Hubbard (John Williams). Aussi subtil que son adversaire, il engage un duel d’intelligence qui devient le cœur palpitant du film. L’affrontement verbal entre les deux hommes est savoureux. Hitchcock tire pleinement profit du quasi huis clos de l’appartement, transformant cet espace unique en véritable terrain de jeu dramatique. Certes, le début du film souffre de quelques tunnels de dialogue qui ralentissent le rythme, mais la tension monte progressivement et la seconde partie captive par son intensité. Les dialogues, ciselés avec soin, maintiennent l’attention du spectateur et révèlent toute l’intelligence de l’intrigue, même si le final fait deus ex machina. Au final, la clé de l’énigme.
Recommandé par l'IA Memorizer