
1967
•
Crime / Drama
•
1h45
Summary
After professional hitman Jef Costello is seen by witnesses his efforts to provide himself an alibi drive him further into a corner.
Public Opinion
322 reviews
7.6/10
8/10
Viewers find 'Le Samouraï' a visually striking film, marked by Alain Delon's iconic, albeit emotionally distant, performance as Jef Costello. The minimalist and atmospheric direction by Jean-Pierre Melville enhances the film's moody, noir aesthetic, though some find the pacing slow and the plot somewhat opaque. The film's deliberate lack of dialogue and character development creates a polarizing experience, with some praising its style and others finding it less engaging.
👍 Alain Delon's performance is iconic.
👎 Plot can be confusing and pacing slow.
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Jean-Pierre Melville 1967 Alain Delon = Jef Costello Nathalie Delon = Jane Lagrange Cathy Rosier = la pianiste Jef est un tueur à gages et vit seul dans son appartement avec son oiseau en cage. Il accepte un contrat pour tuer un homme (le patron d'un bar) en échange d'argent. Il fait de son amante (Jane) son alibi et réussi à se faire relâcher après un interrogatoire avec la police et les témoins du crime (certain l'ont aperçu). Il cherche à récupérer son argent mais finit blessé après qu'on lui ait tiré dessus. Il retourne dans le bar pour voir la pianiste qu'il aime et il lui demande pourquoi elle ne l'a pas dénoncé aux policiers (elle avait vu son visage) mais il n'obtientpas de réponse. En même temps il continue d'être suivit par la police et son appartement est mis sur écoute (il le repère tout de suite). Il accepte un nouveau contrat dans lequel il doit tuer la pianiste. Il revient donc dans le bar, enfile ses gants, met en joué la pianiste qui est surprise mais reste immobile et finalement c'est Jef qui se fait tuer par des policiers. Enfin, après sa mort, on se rend compte que Jef n'avait pas de balles dans son revolver. "Costello est tombé amoureux de la pianist, témoin principal du crime, comme il tombe amoureux de sa mort." Melville
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1968
Exceptionnel ! Superbe mise en scène, interprétation au cordeau.
7.5
Très beau film (peut-être un peu lent à quelques moments) et très esthétique comme je les aime : une vraie ambiance, une vraie décoration, des costumes qui envoient (le trench magnifique, la Baume & mercier à l’envers, les cigarettes molles, les costumes qui sont toujours parfaits), un tout parfaitement esthétique quine part pas dans tous les sens comme certains films actuels le font aujourd’hui. C’est l’histoire d’un tueur à gage (Alain Delon qui ne joue pas mais joue lui-même, se défend bien évidemment très bien) qui tue un chef de bar de jazz et qui a fallu se faire attraper (il se fait prendre par la police et passe devant des personnes qui pourrait le reconnaître mais ce n’est pas le cas). Il y a surtout la pianiste qui l’a vue de près et qui ne le dénonce pas. Il se demande pourquoi elle ne le dénonce pas et va lui demander mais elle ne répond pas. Elle lui demande juste qui il est. Entre temps, pour échapper à la police, il avait très bien construit son alibi notamment avec une jeune fille qu’il voit (Nathalie Delon). Sauf que au moment où il doit se faire payer pour son meurtre, la personne essaie de l’assassiner. Il va donc partir à la poursuite de ses commanditaires et en tuer un. Entre temps, il a aussi accepté un autre contrat et ça sera … surprise : la pianiste. Sauf que il se fera tirer dessus avant de tuer la pianiste mais retournement de situation : son pistolet à lui n’était pas chargé. Que cela veut-il dire ? Ce qui est vraiment réussi (mais je crois que c’est une des caractéristiques propres aux films de Melville), c’est que rien n’est vraiment très clair mais cela se tient : il y a assez pour faire travailler l’imagination du spectateur. On ne comprend pas toujours les relations des personnages entre eux et surtout pourquoi ils font certaines choses (même avec le recul, cela peut toujours être flou).