Summary
Basque Country, 1609. The men of the region are at sea and Amaia takes part for the first time in the nightly dances in the woods with the other villager girls. She is only 20. At dawn, they are all arrested.
Farfelue de fou pas vraiment eu l'impression que ça racontait un truc de sorcière c'est plutôt pour se moquer des croyances de l'époque
film fou, les images sont incroyables, je recommande à 1000%
film fou, les images sont incroyables, je recommande à 1000%
Vu au cinéma
Les Sorcières d'Akelarre 2020 Espagne - Argentine Réalisé par Pablo Aguero 1h30 avec Amaia Aberasturi, Alex Brendemühl, Daniel Fanego Drame Pays basque, 1609. Victimes d’une extrême misogynie et accusées de sorcellerie, de jeunes tisserandes sont condamnées. Un récit sidérant. La peur que suscitaient les femmes accusées d’être possédées n’a jamais eu autant de choses à nous apprendre. C’est le pari de ce film : recréer le Pays basque espagnol de 1609 pour raconter un peu plus qu’une chasse aux sorcières dont vont être victimes de jeunes tisserandes. Du regard que posent les hommes sur elles, il sera beaucoup question, notamment à travers le portrait savoureux du juge Rosteguy de Lancre. Un personnage inspiré par Pierre de Rosteguy de Lancre (1553-1631) qui, à la demande d’Henri IV, mena en inquisiteur une mission dans le Pays basque français. Les femmes, laissées seules pendant les mois de la pêche à Terre-Neuve, avaient la réputation de se livrer à des actes de sorcellerie… Aux côtés de ses héroïnes, qui rappellent les sœurs recluses dans la Turquie de Mustang (2015), le réalisateur montre comment un piège se referme sur elles. Même les grands espaces de la côte Atlantique deviennent souricières, puis c’est le cachot. Lors des interrogatoires, le langage à son tour se fait prison, manipulé pour n’être qu’accusateur. Enfermées dans le rôle maléfique qui les condamne, les jeunes filles ne peuvent briser ni les barreaux de fer, ni ceux de ces esprits masculins où leur perversion est établie. La plus intrépide, Ana, a l’idée de devenir piège elle-même : feignant de s’avouer sorcière, elle promet au juge de raconter le sabbat dans les moindres détails, avec l’espoir de gagner du temps pour que les pêcheurs reviennent avant le bûcher… Écrit dans un élan solidaire avec celles qui vécurent l’enfer d’une damnation aveugle, le scénario permet au film de rentrer dans la folie d’une époque. Avec la fausse diablesse Ana, envoûtante, et un Rosteguy de Lancre fasciné, possédé, on entre dans le feu. Celui des passions humaines et de l’imaginaire, qui est à la fois la seule échappée possible et le siège des visions où la femme est associée aux flammes et à une magie noire brûlante. En nous faisant voyager très loin avec ces personnages enchaînés à des croyances, Pablo Agüero livre un film saisissant.
Film préféré Pays Basque français, 1609. Les hommes de la région sont partis loin en mer. Ana, 17 ans, participe pour la première fois à une fête dans les bois, la nuit, avec d’autres filles du village. A l’aube, elles sont arrêtées. Le juge Rosteguy De Lancre, missionné par le Roi pour purifier la région, les accuse de sorcellerie. Certain d’avoir trouvé là sa plus belle affaire, il décide de tout entreprendre pour leur faire avouer ce qu’elles savent sur le Sabbat, cette cérémonie magique au cours de laquelle le Diable est censé adouber ses servantes et s’accoupler avec elles. Arrêtées, mises aux fers, elles sont interrogées à tour de rôle, soumises à la question, c’est-à-dire torturées. Solidaires, soudées par la souffrance, elles finissent par s’identifier à ces figures de sorcières que les inquisiteurs s’acharnent à vouloir surprendre en elles. Inspire dd faits réels Film de Pablo Aguero Il parle de l’impossible émancipation des femmes dans un contexte particulier qui pourrait être l’Afghanistan ou encore les affres démoniaques d’un certain Weinstein. La danse, le chant, la liberté et surtout la beauté deviennent chez les jeunes femmes autant une opportunité à les diaboliser qu’un enjeu d’attraction et de rejet à la fois. L’accusation de sorcellerie procède ainsi chez les hommes de la crainte de leurs propres désirs. L’insouciance, la joie et la sensualité de ces jeunes filles deviennent une arme de pouvoir incroyable que les religieux tentent de réfréner par l’invention de ces procès. Le film souffre parfois d’une mise en scène très emphatique où les gamines en rajoutent dans l’expression de leur émancipation et les hommes sont traités avec caricature La photographie est très soignée. Le film choisit une lumière assez sombre, qui s’interpose parfois dans des décors maritimes absolument magnifiques. La couleur rouge raconte le feu et la nuit qui détruisent les jeunes femmes amoureuses de leur liberté. Parfois, l’esthétique de l’image fait craindre une tonalité érotique du récit, renforcée par le jeu sensuel des comédiennes. Mais le réalisateur échappe à ce qui aurait pu être une véritable faute de goût. Son métrage ménage un intérêt croissant avec un rythme accordant une place de choix à la musique et suscitant le suspense. D’ailleurs, la dernière partie dont on pourrait discuter la vraisemblance de l’issue, se transforme en une sorte de symphonie de sons, couleurs et émotions. Les jeunes femmes font la démonstration incontestable que la liberté des peuples et des cultures prend toujours son origine avec le prétendu sexe faible. Les sorcières d’Akelarre est écrit comme un hommage aux combats sociaux que mènent les femmes à travers le monde pour gagner leur intégrité intellectuelle, physique et émotionnelle. Argentin Trop génial, centrè sur des femmes qui sont accusée de sorcellerie et qui se font passer pour des sorcières pour gagner du temps avec leur exécution pour arriver au jour ou les marins rentrent Scène où elle Ana raconte un faux chabbat une fausse histoire de sorcière et on voit le juge qui est complètement ensorcellé / scène ou les femmes du villages enlèvent leur turban sur leur cheveux pendant le fzux chabbat pour se libérer Les femmes sont des sorcières et les hommes sont des gros iench Elles arrivent à ensorceler des gens juste avec leur beauté et c’est la seule sorcellerie réelle Elles les tourne en ridicule et ils font tous ce que ana leur demande (habiller un porc et un âne en pape ???) Elles se font torturer pour trouver la « marque du diable » Et ana arrive à sauver les 3 restantes de la tortue en disant que c elle l’a sorcière et que elle les a ensorcelé A la fin elles décident de sauter dans le vide pour choisir leur mort Femmes badass et hommes debilos