2025
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Drama / Comedy
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1h42
Summary
In 1963, Esther gives birth to Roland, the youngest of a large family. Roland is born with a club foot that prevents him from standing. Against everyone's advice, she promises her son that he will walk like the others and that he will have a fabulous life. From then on, Esther will do everything in her power to keep this promise. Through decades of trials and miracles of life, this film is the story of a true, funny and moving story, that of an incredible destiny and the greatest love there is: that of a mother for her child.
Un écrivain anglais a très justement écrit : « Que puisque Dieu ne pouvait être partout, il a donc dû inventé les mères » Le film m’a semblé être un mélange très juste de tendresse, d’ironie et de mélancolie. On passe par toutes les émotions sans s’y attendre. C’est un peu comme un mémento mori, une piqûre de rappel sur la fragilité de la vie, de nos proches, et de nous-mêmes. Je m’y suis un peu reconnu, parce que je m’embrouille parfois avec ma mère, mais je l’aime profondément. Ce film m’a fait réaliser qu’il faut profiter du temps qu’on a avec elle avant qu’il soit trop tard. Ma mère a déjà eu des maladies graves, et ça m’a fait penser qu’il vaut mieux se donner la peine pour ceux qu’on aime, même quand la colère ou la fierté prend parfois le dessus. Pour moi, le film essaie surtout de rappeler l’importance de vivre vraiment, de prendre du temps pour les autres comme pour soi, et d’apprendre à laisser couler les petits caprices, surtout ceux d’une mère — parce qu’au fond, ils cachent souvent beaucoup d’amour. En bref, c’est un film bouleversant, émotionnellement fort, rempli de sagesse et de tendresse, une lettre ouverte à toutes les mères. Il agit comme un miroir : il te renvoie à ta propre relation avec ta mère, avec la vie, avec le temps sans jamais forcer l’émotion, comme si tu la contrôlé sans qu’elle t’échappe en pleine conscience.
2e film dans l’aller Paris - Dubaï Histoire vraie incroyable de cette mère qui se bat pour que son fils marche et soit normal ! Il finit par marcher vers 10 ans ! Mais elle l’a tellement couvé qu’il a du mal parfois à l’âge adulte avec se relation avec sa mère. Adulte (Jonathan Cohen); il épouse une femme magnifique (Joséphine Japy), mais elle meurt d’un cancer. Fan absolu de Sylvie Vartan, il finit pas la rencontrer, devenir son avocat, son ami. Ce n’est que sur son lit de mort qu’Esther la maman avoue à Sylvie que Roland avait un pied bot Pas gai non plus mais superbement bien joué par Leila Bekthi ; incroyable en mère juive
Un film émouvant. Une mère avec un amour tellement grand qu'elle veut qu'un miracle ait lieu pour son fils qui né avec un pied bot. Elle va tout faire. Malheureusement tous les médecins préconisent un appareillage. Mais non. Elle va trouver la personne qui va l'aider. Et aussi grâce à Sylvie Vartan, ses chansons, les articles sur elle Roland va patienter, apprendre à lire. Sylvie est une passion et envahit la famille. Les frères et sœurs doivent suivre pour que le petit frère supporte la douleur. La mère ne lâche pas. Il se mariera, aura des enfants et super métier. C'est ce qui se passera. Et tout se terminera avec Sylvie dont il deviendra l'avocat et qui saura toute l'histoire.
Un beau film sur la vie qui passe et l'emprise (Bonne et moins bonne) de la mère
AVION très beau émouvant, dévouement (trop) d'une mère
Bien
Public Opinion
3.9k reviews
8.1/10
7.1/10
Viewers are deeply moved by 'Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan,' praising its heartfelt portrayal of a mother's relentless determination to give her son a normal life despite his disability. Leïla Bekhti's performance as the mother is consistently highlighted as powerful and compelling. While the film is celebrated for its emotional depth and humor, some criticism arises regarding the pacing and the use of AI for a young Sylvie Vartan, which some found distracting.
👍 Leïla Bekhti's performance is a standout.
👎 AI aging effects can be jarring.
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