Steve

j’avais hâte de voir ce que Cillian Murphy allait proposer sur cette prestation, là où on ne l’attendait pas. J’ai beaucoup aimé le rôle qu’il a tenu en celui de « Steve » et toutes les émotions que son personnage a pu ressentir ont percé l’écran, donnant aux spectateurs une occasion supplémentaire d’observer la vie des jeunes délinquants sous un autre angle et de ressentir de la compassion et de la compréhension avant jugement et peur. sur la fin du film, lorsque steve fait une par une les descriptions des garçons dont il s’occupe, ils sont présentés dans un plan tout à fait pur et honnête, au travers de leur difficulté et surtout de leur humanité, profonde et sincère. j’ai trouvé le film touchant, ce sera un 15/20 en ce qui me concerne !

Trop trop bien

Netflix - fin en queue de 🐟 Nous sommes en 1996, dans le manoir de Stanton Wood, quelque part en Angleterre. Cette école expérimentale, inspirée d'un modèle finlandais et axée sur la réhabilitation plutôt que sur la punition, accueille une douzaine d'adolescents que le système a broyés. Des gamins violents, imprévisibles, terriblement complexes. Riley, 17 ans « trois quarts », se décrit comme « un dieu de Cornouailles, coriace et insolent ». Jamie, moqué pour son poids, insulte en permanence les autres et voit chaque interaction comme un champ de bataille. Nab, lui, rêve d'être mannequin entre deux fantasmes morbides. Et puis il y a Shy, incarné par la révélation Jay Lycurgo : un garçon dépressif, émotionnellement intelligent, une vraie « bombe à retardement » selon le proviseur de l'école, rejeté par sa propre mère qui, au téléphone, lui annonce froidement qu'elle coupe les ponts.