
2011
•
Drama / Fantasy
•
2h19
Summary
The story of a family in Waco, Texas in 1956. The eldest son witnesses the loss of innocence and struggles with his parents' conflicting teachings.
Public Opinion
381 reviews
7.2/10
6.8/10
Viewers find 'The Tree of Life' a visually stunning and emotionally powerful film, marked by Terrence Malick's signature contemplative style. It explores deep themes of existence, memory, and human nature through a blend of personal narrative and cosmic imagery. While some praise its philosophical depth and beautiful cinematography, others find its pace slow and its narrative structure challenging, making it a polarizing experience.
👍 Philosophical depth and stunning visuals
👎 Slow pace and complex narrative
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The Tree of Life fait ressentir la beauté, la fragilité et le mystère de la vie à travers la famille, les souvenirs et notre place dans l’univers. J’ai aimé le film parce qu’il m’a fait ressentir le mystère et la beauté de la vie, à travers la famille, les souvenirs et un émerveillement qui dépasse le quotidien. J’ai aimé ressentir les fêlures du personnage principal, liées à son enfance, à sa relation avec sa mère, aux exigences de son père et au sentiment d’être parfois rejeté ou pas assez aimé, car ce sont justement ces blessures et ces manques qui peuvent nous construire De merveilleuses images/ sons/ The Tree of Life est un film qui nous plonge dans la vie comme un flot d’émotions et de souvenirs, où les joies, les blessures, l’amour et la perte s’entremêlent, tout comme les images qui passent du quotidien familial aux mystères cosmiques. C’est moins une histoire à comprendre qu’une expérience à ressentir : un mélange de nostalgie, de contemplation et de méditation sur ce qui nous construit et sur notre place dans l’univers.
Jamais un film ne m’aura mis une telle claque visuelle. Rarement un film ne m’aura autant et si simplement touché. À regarder à chaque fois que l’on s’oublie, car rarement je ne me suis pris une telle claque d’humilité. Ce genre de film donne souvent une impression de « branlette intellectuelle » mais c’est ici loin d’être le cas. Chaque plan est calibré est pensé comme un tableau sans que ce ne soit jamais ennuyant.
Étrange et un peu long
Recommandé par l'IA Memorizer
"Father. Mother. Always you wrestle inside me. Always you will." C'était beau. C'était lent, puissant et si beau. La beauté de la vie. Un peu de sa laideur aussi. Tout ce qui fait qu'on est qui on est. L'enfance, les parents, les morts. Je n'ai pas tout compris aux images du film mais cette part de mystère est en fait agréable. On ne peut pas tout comprendre de la vie. Pourquoi est-on là ? Dieux existe-il ? Moi je ne crois qu'en l'amour. "Unless you love, life will flash by."
Arrêté.
Trajets pour aller au ciné et y revenir effectués en Yego, comme d'habitude. La purge... J'ai aimé la base du scénario, comment est abordée l'évolution de l'enfant, d'avant sa naissance (mésozoïque, atomes, etc👀) à son âge adulte. Le film est composé de 5-10% de dialogue, et est très conceptuel, artistique. Cela est appréciable mais pendant presque 2h20, c'est trop long. Malgré une quantité surprenante de plans incroyables !! Je ne sais pas si ça contrebalance la peine qu'il faut pour le regarder.
🎬 Terrence Malick n'a pas fini de diviser, il se focalise sur la relation entre un père et son fils, intrigue complexe, images superbes. Le père est joué par un charismatique Brad Pitt, tout simplement énorme. Jessica Chastain joue la mère, un rôle tout en finesse, elle aussi est bluffante de vérité. Une œuvre contemplative magnifiquement photographiée, aussi déroutante que fascinante. Un film qui n'est peut-être pas à la portée de tout le monde, qui divise de par son style, sa réalisation lente mais incroyablement maîtrisé. 🎬 🎬 🎬
Je ne peux pas mettre plus de 10 Une claque sentimentale forte Une claque esthétique qui l'est tout autant Une réflexion sur l'enfance et la vie à travers les éléments Nature omniprésente (je soupçonne Malick d'être naturophile) Des personnages forts qui s'affirment dans leurs actions ; contraste avec le peu de dialogues Absence de prénoms qui n'empêche pas l'attachement L'arbre est toujours présent, symbolique de la vie à tout instant ; il est central dans la vie des trois frères (le jeu avec la cabane et la corde, le défouloir également) Une retrospective métaphysique de la vie depuis les étoiles avec une magnifique composition de Zbigniew Preisner d'une puissance incroyable Interrogations personnelles successives du père, du défun fils sur son paternel puis du frère de ce dernier Une mère présente en première partie qui s'efface par la suite, dépassée par un mari autoritaire et un fils qui semble à bout On note cette évolution dans la psychologie des enfants (surtout Jack) entre un début compliqué, enfant presque martyr de l'autoritarisme du père et une fin en roue libre, où les questionnements internes du jeune Jack le poussent à enfreindre les règles, à vouloir la mort de son père J'ai retenu mes larmes