Transformers: Revenge of the Fallen

6.6 - Entertaining - Not the best 🤖

C'est un bon film intéressant et avec de belles animations, ya des decepticons vraiment stylé. Mais le scénario est un peu nul et ridicule avec des incohérences et incompréhension. Déjà on comprend pas si ce que Sam trouve dans sa veste est un morceaux du cube ou un autre truc qui permet de trouver la Matrice, lorsque le morceaux tombe, il fait apparaître pleins de robots transformés d'un grille pain, d'un aspirateur et autre, ce qui nous laisse penser que c'est un morceau du cube. Mais finalement c'en est sûrement pas un vu que sinon ils pourraient ressusciter Optimus Prime avec. Donc déjà là on comprends pas trop, en plus on sait même pas comment il a atterri là. Et Sam le donne a Megan, puis un decepticon tente de le voler, il échoue et c'est tout, après ça on entend plus parler de ce fragments durant tout le film. Y'a aussi quelques autres moments un peu con comme par exemple lorsque Sam cherche la Matrice, deux autobots jumeaux se battent et ça cassé le mur dans lequel était renfermé la Matrice. Après il y a aussi la salle dans laquelle il y avait le fragment du cube, cette salle était sencé être ultra sécurisée, mais au final y'avait aucun garde, aucune sécurité, y'avait rien. Et le truc le plus con c'est que sur le toit il y avait un tuyau qui menait directement dans la salle avec le fragment du cube, en gros si tu saute dans le tuyau tu atterri directement dans la salle, ce qui est ridicule et con. Donc le decepticon s'est servi de ça pour prendre le fragment du cube, il a jeté pleins de boules dans le tuyau, puis ils ont atterri dans la salle et ont pu prendre le fragment dans aucun problème ni difficulté. Et puis même Megatron, au lieu de le casser en mille morceaux et le détruire avant de le lancer dans l'océan, ils l'ont lancé intact dans l'océan avec aucune surveillance.

Bien mais je trouve qu’il était un peu plus long que le premier à regarder, genre parfois c’est un peu long

Je les déjà

C’est vraiment bien ! ✨

Recommandé par Agathe Suberchicot