Summary
With her mother away for the weekend, a brash and precocious ten-year-old country girl sets out to explore Paris during a Métro strike under her uncle's not-so-watchful eye. But can a little girl cause so much chaos in the city centre?
Film de Louis Malle très drôle et bien réalisé qui reprend la folie de l’œuvre de Queneau. J’ai ri et beaucoup apprécié les différents effets visuels. Juste la scène de baston à la fin est trop longue.
Sur Arte replay. Un film amusant et pleins de gags , qui m’a rappelé les films de Charlie Chaplin. Une petite fille est gardée par son oncle à Paris, le film la suit dans ses aventures en compagnie de drôles de personnages tout le long de ses déambulations. C’était loufoque et coloré ! La fille qui joue Zazie est adorable! J’ai adoré voir le Paris de 1960, un Paris d’un autre temps, c’était impressionnant.
Zazie, une gamine de dix ans aux manières délurées et au langage trivial, arrive de province, impatiente de découvrir le métro parisien. Son oncle Gabriel l'attend à la gare et, à sa grande déception, la jette directement dans un taxi conduit par son ami Charles et la dépose au café Turandot. Là, elle fait la connaissance de Mado P'tits Pieds, une serveuse au grand cœur, de sa tante Albertine, ménagère modèle, et d'autres figures truculentes. Zazie s'échappe pour enfin se promener en métro, mais quand elle se rend compte qu'il est fermé pour cause de grève, elle se met à pleurer. Chacun va désormais vaquer à ses propres occupations. L'oncle se travestit en danseuse espagnole dans un café-concert, Charles déclare sa flamme à Mado pendant que Zazie découvre le marché aux puces en compagnie de Pédro-Surplus, qui se métamorphosera en agent Trouscaillon, puis en Aroun-Arachide. Après deux jours de folie parisienne, Zazie emprunte enfin le métro pour se rendre à la gare et repartir. Mais Zazie, endormie dans les bras de sa tante, ne se rend pas compte qu'elle utilise le fameux objet de sa curiosité… Lorsqu'elle est promptement déposée dans le train par sa tante, Zazie se réveille. À sa mère qui lui demande ce qu'elle a fait durant son séjour, la petite fille répond qu'elle a vieilli. Fiche technique Titre : Zazie dans le métro Réalisation : Louis Malle Scénario : Louis Malle et Jean-Paul Rappeneau, d'après le roman de Raymond Queneau (Éditions Gallimard-NRF) Adaptation et dialogues : Louis Malle, Jean-Paul Rappeneau Conseiller artistique : William Klein Assistants réalisateur : Philippe Collin, Olivier Gérard, Richard Bigottini Images : Henri Raichi Opérateur : Jean Charvein, assisté d'André Dubreuil Montage : Kenout Peltier, assisté d'Yvette Bertrand et de Claudine Merlin Musique : André Pontin et Fiorenzo Carpi - (Éditions Impéria) Orchestre sous la direction de Jacques Météhen Costumes : Charles Mérangel, Marc Dolnitz Maquillage : Aïda Carange Son : André Hervée Décors : Bernard Evein, assisté de Marc Frédérix Script-girl : Sylvette Baudrot Photographe de plateau : Jean-Louis Castelli Production : Les Nouvelles Éditions de Films Chef de production : Napoléon Murat, Louis Malle Directeur de production : Irénée Leriche Producteur associé : Hubert Mérial Distribution : consortium Pathé Pays d'origine : Drapeau de la France France / Drapeau de l'Italie Italie Format : pellicule 35 mm, couleurs - Eastmancolor - ratio : 1,37:1 Genre : comédie Durée : 89 minutes Date de sortie : 31 octobre 1960 Visa d'exploitation : 23146 Distribution Catherine Demongeot : Zazie Lalochère, une gamine impertinente en visite à Paris Vittorio Caprioli : Pedro Surplus/l'agent de police Trouscaillon Philippe Noiret : Gabriel, un danseur travesti de cabaret, l'oncle de Zazie Hubert Deschamps : Turandot, un patron de café et propriétaire de l'appartement de Gabriel Antoine Roblot : Charles, un chauffeur de taxi ami de Gabriel Annie Fratellini : Mado petits pieds, une serveuse de café amoureuse de Charles Carla Marlier : Albertine, la femme de Gabriel et tante de Zazie, une ménagère modèle / Albert Yvonne Clech : la veuve Mouaque Nicolas Bataille : Fédor Balanovitch Odette Piquet : Jeanne Lalochère, la mère de Zazie qui la case chez Gabriel chaque fois qu'elle a un amant Jacques Dufilho : Ferdinand Gridoux Marc Dolnitz : Monsieur Coquetti Louis Lalanne : l'amant de Jeanne Lalochère Alegrina : une permanente Jeanne Allard : une permanente Jacqueline Doyen : une permanente
S
Cinéma déstructuré. Comme le livre ! De Raymond Queneau.
La diversité urbaine : Paris est représenté comme un lieu diversifié où se côtoient une multitude de personnes, de cultures et de modes de vie. Cette diversité crée un environnement dynamique où chaque coin de rue offre de nouvelles rencontres et expériences pour Zazie, le personnage principal. La liberté d'exploration : Zazie, une jeune fille de la campagne, découvre Paris avec un sentiment d'émerveillement et de curiosité. La ville lui offre une liberté d'exploration sans limites, où elle peut se perdre dans les rues, rencontrer des personnages excentriques et vivre des aventures hors du commun. L'imprévisibilité urbaine : Paris est présenté comme un lieu imprévisible où les événements les plus inattendus peuvent survenir à tout moment. Les rebondissements inattendus et les rencontres fortuites façonnent l'expérience de Zazie dans la ville, illustrant ainsi son caractère chaotique mais excitant. La représentation des quartiers parisiens : Le film explore différents quartiers de Paris, chacun avec sa propre atmosphère et son propre caractère. De Montmartre à la Tour Eiffel, en passant par les quais de la Seine, chaque quartier offre à Zazie une expérience unique et contribue à la richesse de son exploration urbaine. La satire sociale : À travers les aventures de Zazie, le film offre également une satire sociale sur la vie urbaine, mettant en lumière les absurdités et les contradictions de la société parisienne. Les interactions de Zazie avec les habitants de la ville révèlent les préoccupations et les obsessions de la classe moyenne parisienne de l'époque.