
2023
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Jean-Michel Guenassia
Résumé
«On ne choisit rien, on ne fait que mettre ses pas dans le chemin tracé, on accomplit toujours ce que l’on est.» C’est dans l’euphorie d’un monde à reconstruire, en 1924, qu’Irène rencontre Georges. Elle est serveuse, il est menuisier aux studios de cinéma, et ressemble à s’y méprendre à Rudolph Valentino, ce qui en chavire plus d’une. Le temps d’une valse sur les bords de Marne, ils tombent amoureux. Leur fille aînée, Arlène, fera partie pendant son enfance du carré magique : à ses côtés, il y aura Daniel, qui se destine à Saint-Cyr, et Thomas et Marie, les jumeaux de bonne famille. Ils sont inséparables. Mais Arlène n’est pas comme eux. Malgré son humble extraction, elle va s’évertuer à être l’une des premières femmes ingénieurs atomiques en France. Ce qui n’est pas sans embûches. Ce qui n’est pas sans sacrifices. Chassé-croisé d’amours éperdues, de destinées funestes et de rendez-vous manqués sur fond de bouleversements sociaux et politiques, À dieu vat est aussi l’épopée d’un siècle : celui d’une jeunesse fracassée par trois guerres successives, des filles qui voulurent échapper à leur condition, et des gens modestes qui eurent de l’ambition.
J’adore Guenassia Histoire de jeunes gens sur plusieurs décennies, on revisite la France avec l’émancipation de la femme grâce aux études supérieurs, à la guerre d’Algérie, à la recherche sur la bombe atomique française et ses essais
Une histoire de 2 familles avec les destins des enfants qui se croisent dans l apres guerre et les années 60 .Bien écrit mais pas d'émotions. 🙃
Fresque passionnante et personnages attachants. Mérite une suite
lu entre le 11 et le 20 mars belle histoire d'amours er d'amitiés entre 3 guerres...qqs longueurs sur le parcours professionnel d Arlene
Passionnant . Bien écrit . J’ai beaucoup aimé
Merveilleux conteur qui nous fait traverser notre histoire du XXeme avec plaisir !! On dévore
Une grande saga sur l’amitié, l’amour et la traversée du XX siècle avec ses événements tragiques Se lit avec grand plaisir et on imagine sans peine qu’il y aura une suite
Un parcours de vie sur fond de classe sociale et de politique. Des protagonistes de la génération de 1920. Des amis d'enfance dont les vies se séparent après le suicide d'un d'entre eux. Je n'ai pas réussi à ressentir d'attachement pour l'héroïne.
C'est dans l'euphorie d'un monde à reconstruire, en 1924, qu'Irène rencontre Georges. Elle est serveuse, il est menuisier aux studios de cinéma, et ressemble à s'y méprendre à Rudolph Valentino, ce qui en chavire plus d'une. Le temps d'une valse sur les bords de Marne, ils tombent amoureux. Leur fille aînée, Arlène, fera partie pendant son enfance du carré magique : à ses côtés, il y aura Daniel, qui se destine à Saint-Cyr, et Thomas et Marie, les jumeaux de bonne famille. Ils sont inséparables. Mais Arlène n'est pas comme eux. Malgré son humble extraction, elle va s'évertuer à être l'une des premières femmes ingénieurs atomiques en France. Ce qui n'est pas sans embûches. Ce qui n'est pas sans sacrifices. Chassé-croisé d'amours éperdues, de destinées funestes et de rendez-vous manqués sur fond de bouleversements sociaux et politiques, À dieu vat est aussi l'épopée d'un siècle : celui d'une jeunesse fracassée par trois guerres successives, des filles qui voulurent échapper à leur condition, et des gens modestes qui eurent de l'ambition.