Résumé
«J’ai déjà tout raconté, tout écrit. J’aurais dû m’arrêter là, garder pour moi ce qu’il nous restait à vivre. Mais Gaspard est mort. La veille de ses vingt ans. Il n’y a rien à écrire. Et pourtant, j’écris.» L’auteure a perdu ses deux filles, Thaïs et Azylis, d’une maladie orpheline. Comme si elle n’avait pas déjà assez souffert, la tragédie frappe de nouveau la famille: la veille de ses vingt ans, Gaspard, le fils aîné, s’enlève la vie. Comment survivre, encore une fois, au pire drame qu’un parent puisse subir? En ajoutant de la vie aux jours, si on ne peut ajouter de jours à la vie. Ce récit raconte les petits et les grands pas vers la survie; des réflexions qui font écho au présent parce qu’il faut s’accrocher à l’enfant qui reste, Arthur. Des mots justes, généreux, empreints de compassion et, surtout, d’un courage indescriptible.
J'avais déjà beaucoup pleuré en lisant "Deux petits pas sur le sable mouille" et j'ai de nouveau beaucoup pleuré. Cette maman courage sait trouvé les mots justes pour reconforter et aller chercher de la lumière la ou cela paraît impossible.