
2016
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Virginie Despentes
Résumé
C’est l’histoire d’une amitié passionnelle : deux filles sans repères dont les chemins se croisent par hasard, et qui vont découvrir qu’elles n’ont plus rien à perdre. Paru en 1993 et traduit dans plus de vingt langues, Baise-moi est une déclaration de guerre au bon goût, aux beaux sentiments et à l’élégance. A la croisée du roman « hard boiled » et de la culture hard core, un roman nihiliste et trash, que sauve un humour grinçant. Virginie Despentes et Coralie Trinh Thi l’ont adapté à l’écran en 2000, avec Karene Bach et Rafaella Anderson dans les rôles titres. Censuré en France, le film a connu un succès durable à l’international.
Un livre « coup de poing », éprouvant à lire, mais qu’on a du mal lâcher. Une réalité qu’on n’a pas l’habitude de lire.
TRASH sa race Attachantes les 2 personnages principales, malgré une certaine naïveté C’est fou ce truc du « jusque là ça marche bien donc on continue » Une fin très abrupte avec la mort de Manu à la station essence, on s’y attend pas, et encore moins à la suite Bizarre cet instant où l’autre bute un enfant juste pour le plaisir, surtout avec le « on touche pas aux enfants » juste avant Une liberté des corps aussi… étrange Décrire des scènes de viols ou de sexe brutal mais avec le lexique du plaisir, du lâcher prise et quelque part de l’abandon de soi mais pas dans la bonne version. Mon corps ne m’appartient pas, toute la spiritualité autour du sexe, le côté « sacré » de la chatte, anéanti avec ce livre. Ça baise n’importe qui n’importe où, et pourtant il reste du plaisir. Et du dégoût pour la lectrice que je suis, mêlée à un peu d’excitation: c’est possible d’avoir autant de plaisir avec ce mode de vie ??? Bouquin très décalé Le film est a voir je pense !
Un livre complètement trash et hardcore avec deux antihéroines paumées et défoncées qu’on a du mal à distinguer. Des personnages brouillons qu’on ne comprend pas et des événements obscènes qui s’enchaînent vitesse grand V
Masterclass, glaçant et brut