2010
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Tatiana de Rosnay
Résumé
Sa soeur était sur le point de lui révéler un secret... et c’est l’accident. Elle est grièvement blessée. Seul, l’angoisse au ventre, alors qu’il attend qu’elle sorte du bloc opératoire, Antoine fait le bilan de son existence : sa femme l’a quitté, ses ados lui échappent, son métier l’ennuie et son vieux père le tyrannise. Comment en est-il arrivé là ? Et surtout, quelle terrible confidence sa cadette s’apprêtait-elle à lui faire ? Entre suspense, comédie et émotion, Boomerang brosse le portrait d’un homme bouleversant, qui nous fait rire et nous serre le coeur. Déjà traduit en plusieurs langues, ce roman connaît le même succès international que Elle s’appelait Sarah.L’auteur s’inscrit dans la lignée des romancières à succès, les Anna Gavalda, Katherine Pancol et Muriel Barbery dont les histoires vous tiennent en haleine. Françoise Dargent, Le Figaro littéraire.Un roman qui se lit d’une traite tant Tatiana de Rosnay a le sens de la narration et du suspense, même si le thriller s’accompagne toujours chez l’auteur de profondeur psychologique. Émilie Grangeray, Le Monde des livres.
Belle intrigue familiale. Démarrage un peu lent limite on s ennuie. Puis au 2/3 on attrape l intrigue. De jolies descriptions. C est fluide. Et pas trop gros pour finir assez rapidement avec le bouquet final.
J’ai eu du mal à réussir à plonger dans l’histoire mais à force de persévérance j’ai réussis à le finir et à l’apprécier. Les personnages sont attachants, ont en apprends beaucoup, les chapitres sont courts et l’intrigue est bien présente.
Ça se lit J'aurais pu mettre 7 6 c'est pas assez mais 7 c'est quand même bien...6'5😅 C'est l'histoire de la vie d'un homme qui n'aime plus son travail d'architecte, sa femme l'a quitté pour un autre homme, il se sent gros, ses 3 enfants grandissent et les 2 ados sont difficiles à gérer.. il se rend compte qu'il n'a pas beaucoup de souvenirs de sa mère jusqu'à ce que sa sœur lui en parle après son accident de voiture... La vie de la famille REY ..
Très bien 👍😊
Très bien, on est captivité jusqu'à la fin